Re: Le Centre de Commerce.

[Thaur]

"La raison pour laquelle nous l'avons tué... Il fallait bien que quelqu'un s'en charge, non? Pensez-vous sérieusement que vous auriez pu, seul, lui tenir tête? Permettez-moi d'en douter très fortement..."

[Azim]

"Je vous ai dit d'arretez de me prendre pour une buse, alors s'il vous plait vous rangez vos airs superieurs et vos sales plaisanterie dans votre poche et vous me répondez. Je fait mon job, si vous avez un probleme avec ça je n'y suis pour rien mais si vous voulez absolument chercher la confrontation ça peux se faire".

Le novice n'en pouvait plus, il avait un grand respect pour les rpêtres de son quartiers qui tentait toujours de sauver les âmes de leur troupeau, il avait du mal à imaginer que tous n'aient pas cette vocation ancré au plus profond d'eux même...

[Thaur]

"Nous sommes trois, vous êtes seul, Monsieur l'arbites. Je doute que vous soyez en mesure de proférer de telles menaces, votre situation actuelle ne vous le permet pas... De plus, il n'est nul besoin de parler avec le mépris qui est le votre, et avec un langage aussi... malsain... J'ai déjà répondu à votre question. Que ma réponse vous convienne ou non, et je ne sais d'ailleurs pas pourquoi vous persistez croire que la philanthropie n'existe pas, elle reste tout de même ma réponse. Bonne journée, Monsieur."

Thaur tourna le dos à son interlocuteur et s'en alla. il n'avait rien à ajouter, et n'avait aucune envie de se battre avec l'Arbites, et sentait qu'une confrontation deviendrait inévitable si la discutions se poursuivait...

[Azim]

Enshir regarda le prêtre s'en aller, visiblement il ne pouvait pas le retenir. Mais bon il avait son nom donc pas de probleme pour le retrouver au besoin. Il se tourna donc vers les deux autres qui étaient rester plantés à coté du cadavre encore chaud du bûcheron

"Et vous rien à rajouter j'imagine ?"

[Fedias Panthera]

Quand l'agent se retourna pour parler à lui et à Ailoen, Fedias répondit sincérement mais avec une fausse humilité :
-Je crois que Monseigneur Makluen vous a tout dit. Si il y a une personne qui connaît les détails, ce n'est pas un mercenaire comme moi.
Il partit ensuite à la suite de l'ecclésiaste. Il n'avait aucune intention de mentionner le fait qu'il avait été recruté d'une autre façon par son contact de la police planétaire, mais si celui-ci souhaitait que l'Arbites soit au courant, c'était à lui de leur en parler, pas à Fedias.

[HRP : Finalement j'ai accès à internet, mais seulement le soir et sans MSN. Edit : incohérence corrigée]

[Sammaël]

[Hrp: Le problème c'est que plus haut Thaur à dit avoir fouiller le cadavre et prit ce qui était intéréssant, sans préciser quoi. Alors qui prend quoi ? A vous de le préciser plus clairement.]

[Azim]

[HRP: Tant qu'a faire je regarde ce qu'ils prennent y'a peut être quelque chose qui pourrait interresser l'arbites]

[Ailoen]

[HRP Je suppose que Thaur a pris le tout et qu'on se partagera cela plus loin ]

-Eh bien, moi, je n'ai rien à ajouter, la démonstration de Monseigneur Makluen était tout à fait juste...
Ailoen emboîta le pas à Fedias, ne se souciant pas de l'avenir du cadavre du "bucheron", les rats auront peut-être un repas pour la nuit.

[Sammaël]

[Hrp: Oui c'est tout à fait dans le style de Thaur, je pencherai pour l'avis d'Ailoen.]

Au loin résonnaient les sirènes de la Police Planétaire, la Cité-Ruche était tellement étendu avec ses immenses usines et chaînes de montages, qu'il était difficile au force de Police d'agir avec la rapidité qui aurait été nécéssaire.
Seul l'Arbites et les moyens qui étaient à sa disposition en était capable, mais l'Arbites avait toujours mieux à faire que de s'occuper d'un coup de feu.

[Azim]

Enshir regarda les trois clowns s'en aller et attendit que la police arrive, si les sirenes étaient bien pour lui

[Sammaël]

Une dizaine de minutes plus tard, les sirènes s'étant fait entendre de plus en plus fortement, Enshir les entendit enfin au bout de la rue. Une demi minute plus tard, deux Policier tournèrent à l'angle de la rue. Ils avaient en main leur automatique de service et le braquèrent sur le jeune homme.
-"Police Planétaire ! Eloignez vos mains du corps, agenouillez vous !"

[Azim]

Enshir connaissant les procédures dans ce genre de cas avait déja sortit son badge de l'arbites, il le brandit devant lui en braillant:

"Arbites, baissez vos armes!"

[Sammaël]

Le Policier aperçu le badge dans la main levé par précaution du novice, il s'approcha quelque peu sans baisser son arme, puis se détendit en reconnaissant l'insigne.
-"Excusez nous, on s'attendait pas à voir un agent en civil."
L'autre policier s'approcha lui aussi et commença à inspecter les cadavres de loin.
-"Ce gars n'avait aucune chance, sa tête est à moitier arrachée... sans compter qu'il a été visiblement transperçé par quelque chose. Mais dites, c'est tout de même pas vous qui l'avait massacré comme ça ? On dirait le terroriste qui était recherché par l'Arbites en plus."
-"Il y en a un autre ici sergent, tué d'un javelot dans la poitrine."

[Azim]

"C'est lui et non ce n'est pas moi qui l'ait eu, je suis arriver trop tard. Vous pouvez appeler la morgue ?"

Enshir se dirigea vers le second cadavre qu'il n'avait pas vu jusque là...

[Sammaël]

C'était un homme on ne peut plus banal, un javelot était toujours fiché dans sa poitrine ensanglanté. Il n'avait aucune posséssion sur lui.
Pendant ce temps l'un des policier avait fait con sompte rendu à la radio, l'Adeptus Arbites serait rapidement prévenu ensuite.

[Thaur]

[Je confirme, j'ai tout prit!, ce que je voyait comme intéressant, c'était tout ce qui était mentionné dans le débriefing...]

Thaur, voyant que ses conpagnons le suivait, s'arrêta près du Lemvag, afin de répartir leur butin:

"Alors, que voulez-vous prendre? Je n'ai nul besoin d'argent et la lame de mon épée est encore effilée... Je tiens tous deux à vous remercier pour votre aide et à vous féliciter. Nous avons accompli des actions qui me redonnent espoir. Si vous voulez me contacter, passez par l'évêque de la ruche basse, ou plus simplement, venez me trouver dans les quartiers Sud, je suis en train de construire une nouvelle église à partir d'un bâtiment abandonné."

Thaur leur donna sa nouvelle adresse, et ayant partagé le butin, il s'en fut chez l'évêque.

[Sammaël]

A noté qu'en observant la hache, son possésseur pouvait se rendre compte qu'il s'agissait d'une hache à deux mains somme toute assez classique, avec cependant quelques décorations sobres de styles ancien. De plus son tranchant paraissait de meilleure qualité que les armes classique, plus effilé. Et enfin, malgré la taille relativement grande de l'arme, une pression sur un sygle ciselé permettait d'escamoter la double lame dans le manche, qui lui même se racourcissait à l'autre bout. Donnant à la lourde hache une forme de baton en métal épais et relativement court, suffisament pour la ranger dans un sac sans que l'on puisse la deviner.

[Thaur]

Thaur était un peu énervé, le stress mêlé à un rien de rage. Pourquoi s'être séparés? Quelle idée idiote, qui plus est dans un endroit pareil! La foule présente dans le Lemvag ne faisait rien pour arranger l'énervement du prêtre, tous ces gens immobiles, détournant avec une hypocrite innocence le regard quand Thaur les regardaient, avec une discrète moue de dégout, voyant le manteau particulièrement sale, même pour la Ruche basse.

Le prêtre fut soulagé quand les portes s'ouvrirent. Il ne perdit pas son temps, et fonça droit au centre commercial, sans perdre un instant, ne voulant pas que ses coéquipiers l'attendent trop. Une fois arrivé, il chercha une boutique d'électronique et de communication, gardant sciemment son respirateur sur le visage. Une voix déformée artificiellement était toujours utile dans ce genre de boutique, permettant éventuellement le doute quand à son métier.

Thaur trouva assez rapidement son bonheur: une boutique d'électronique, qui vendait toute sorte d'objets, dont certains était complètement inconnus au prêtre, trop habitué à fréquenté la Ruche basse. Il faisait un peu tâche dans le magasin tout propre, avec ses vêtements poussiéreux, mais il ne s'en préoccupa pas outre mesure.
Incapable de trouver par lui-même ce qu'il cherchait, il se dirigea vers le comptoir vide, et toussa bruyamment pour attirer un vendeur..

[Sammaël]

Un homme fringuant, la trentaine, apparut depuis l'arrière boutique en finissant une phrase qui devait s’adresser à quelqu’un d'autres. Il affichait un large sourire, qui se décomposa toutefois en voyant l'accoutrement de Thaur, en particulier son hideux respirateur.
-"Je peux vous aider... Monsieur ?"
Il avait failli en oublier son respect.

[Hrp: Je pense qu'on peut dire assez clairement que tu subis un malus de -1 en Sociabilité.]

[Thaur]

"Bonjour, ne vous inquiétez pas, je ne resterais pas longtemps si vous me servez efficacement. Je cherche des comm-vox ayant une portée d'environ un à cinq kilomètres, ainsi qu'une lunette de vision infrarouge, si possible adaptable sur ce masque respirateur, ou sur n'importe quel autre masque respirateur."

Thaur n'avait pas de temps à perdre, il allait droit au but.

[Sammaël]

-"Les comm-vox ont une portée bien plus importante, ils permettent même de joindre un vaisseau en orbite basse. Ce ne doit pas être cela que vous cherchez, vous pensez sans doute à un microvox, un émetteur courte distance et... bien plus bon marché bien entendu. Je peux vous proposer une version par paire capable d'émettre à 5 kilomètre, pour 65 Gelts. La version de base n'émet quand à elle qu'à 1 kilomètre, même si la paire est à 40 Gelts. Mais sachez que des élément comme des murs épais, une foule dense ou encore des conditions météo mauvaise, tout cela peut réduire considérablement la distance."

Il ouvrit un tiroir et lui présenta les deux paires, quasiment identiques. Des petits objet noirs, assez discrets une fois dans l'oreille. Ensuite il sortit une lunette infrarouge monoculaire d'un étui et lui présenta.
-"Voici notre version la plus accésible, cela dit elle est plus adapté à une arme à feu qu'à un masque vous comprenez. Son prix est de 150 Gelts."

[Thaur]

"-Et vous n'avez vraiment aucune lunette de vision nocturne adaptable sur un masque respirateur?

-Si... Mais cela vous couterait encore plus cher.

-Combien environ?

-Trente Gelts de plus.

-Bien... Je vous remercie pour ces renseignements, je repasserai surement prochainement. Au revoir."

Thaur sortit de la boutique et essaya de trouver un magasin un peu moins bien fréquenté peut-être, mais dans lequel il pourrait avoir un prix intéressant, voir peut-être même acheter une lunette infrarouge d'occasion.

[Sammaël]

Thaur chercha la journée entière avant de trouver un magasin qui lui proposa des prix plus accésible. C'était une échoppe plus modeste, spécialisé dans les objets d'occasion.
Il y trouva des microvox de la même catégorie que l'autre magasin mais dans un état moins reluisant, pour 25 Gelts l'unité. Et en demandant au vendeur, ce dernier parvint à dénicher une lunette à vision infrarouge qui avait été bricolée par son ancien propriétaire. Un peu comme si l'on avait prit une lunette pour fusil, qu'on l'avait coupée en deux et que l'on avait réarrangée le tout d'une manière plus ou moins correcte. Il y avait encore les attaches pour la fixer à un masque et le vendeur lui en proposa 130 Gelts.

[Thaur]

Thaur observa pendant un moment la lunette de vision nocturne et essaya de la mettre par-dessus son masque. Au vu des résultats concluants, il décida d'acheter la lunette.

"Je te la prend pour 115 Gelts. C'est un bricolage, et la lunette est vieille."

[Sammaël]

[Mj: Malgré que tu n'ais pas la compétence marchandage, faire un 2 représente la moitié (arrondie à l’inférieur) de ta valeur de Soc donc... c'est réussi.]

Le vendeur eu une mine déconfite mais finit par acquiescer et empocha l'argent que lui tendait le prêtre. Comme si il avait sentit que personne dans la Cité Ruche ne lui achèterai du matériel qui ne soit plus tout jeune, et comme si également il ne semblait pas nécessaire d'essayer de tromper cet Ecclésiaste à la balafre peu engageante.

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