Promenade en enfer

[Mordren]

Mordren sut qu'il arrivait dans la sous ruche dès qu'il y mis le pied... Une infection, une véritable infection. L'air était si vicié qu'il en devenait presque irrespirable. Il resta dans les marches d'un petit accès quelques instants, tant il était difficile de s'habituer au milieu, puis, quand l'air lui sembla moins nauséabond, il reprit sa marche. Il se trouvait au milieu de décombres, de tonnes de décombres. Il ne restait en ces lieux que mort et désolation. Il rechercha des yeux un éventuel signe de vie, de civilisation, au milieu de ce chaos de pierre et de fer, tout en restant discrètement près de l'entrée. [HRP: Jet d'observation? ou un truc dans le genre...] Il fit également attention à ne pas se faire prendre de revers... Il guettait de tout côté, prêt à tirer de son arbalète.

[Sammaël]

[Mode Mj: Et un petit jet de vigilance (basé sur la perception, d'autant que tu a la capa niveau 2), résultat : 10, c'est très insuffisant.
Petit plus Rp: Pour descendre à la sous ruche il faut passer par des escaliers, il y en a plusieurs, en plus ou moins bon état. Ensuite une fois qu'on y est il faut s'imaginer ça comme si on se trouvait dans la Ruche Basse mais bien des années plus tard, avec la majorité des immeubles effondrés. Sinon ça à bien nue forme de ville, mais en ruine. A noter aussi que des pans du plafond se sont parfois décrochés et on créés des monticules de débris immenses. Quand à l'éclairage sensé reproduire l'éclat du soleil qui se trouvait autrefois au plafond comme dans la ruche basse, il est bien entendu détruit depuis longtemps, donc c'est le noir total. Voila cette précision s'adresse à tous, pas uniquement à Mordren.]

Mordren ne voyait pas très loin, près de la sortie où il se trouvait brulait un feu fait dans un bidon, qui répendait son éclat alentours. Il ne vit personne, l'endroit etait plutot silencieux, hormis les crépitements des flammes et parfois un grincement mettalique sinistre qui résonnait depuis le lointain.

[Mode Mj : Là je vais te demander de seulement décrire ce que tu souhaiterais faire.]

[Mordren]

Le silence pesait sur Mordren, qui restait à extrême proximité de l'escalier, prêt à fuir. Ne voyant personne à l'horizon, dans le noir, il ramassa un objet quelconque, et le lança à la lisière de la lumière que produit le feu, espérant attirer l'attention d'un être vivant, et le forcer à se mettre à découvert.

[Sammaël]

La petite tige mettalique qu'il avait lançé disparut dans le noir avnt de rebondir avec un bruit mettalique sur un objet dur. Aussitôt plusieurs lampe torches s'allumèrent dans le noir et se braquèrent sur Mordren, l'aveuglant complètement, bien qu'il puisse quand même distinguer que les lampes était monté sur des canon de fusil automatiques, bien entendu pointés eux aussi sur lui.
-"Police Planétaire, plus un geste !"
-"Lachez votre arme et mettez vos mains en l'air !"
Les deux voix d'hommes s'était succédées rapidement, criant leurs directives avec insistance.

[Mordren]

Mordren fut soulagé, en un sens, d'entendre parler un policier plutôt qu'un gangster. En un sens, car cela signifiait bien peu de chance d'obtenir un contrat. Il se baissa délicatement afin de baisser son arme, qu'il posa sur le sol. Il y ajouta sa lourde hache, tout aussi précautionneusement. On a du respect pour ce que l'on réalise soit même. Il se redressa tout aussi lentement et leva les mains au niveau de ses épaules, et non pas à la manière ridicule des gens faibles et apeuré qui les dressent aussi haut qu'ils peuvent.

-"On se calme, messieurs, je ne veut pas me battre..."

Il était sincère, il recherchait juste de quoi alimenter sa bourse.

-"... je me suis bêtement égaré... Je cherchais du travail... Je viens d'arriver dans la ruche... Et je suis arrivé ici..."

Il ne mentait pas. Même pas pour l'égaré, car il devait l'être pour arriver dans un endroit pareil. Et si pas égaré physiquement, du moins l'était-il intellectuellement.

[Sammaël]

Les policier abbaissèrent quelque peu leurs armes, lui rendant la vision. Celui qui semblait être l'officier s'adresse à ses quatres coéquipiers :
-"On dois rester en poste ici pour prévenir toutes entrées pendant encore deux heures, on peut pas se permettre de quitter l'endroit pour l'embarquer... D'autant qu'avec ses conneries on risque de se faire repérer ! Bon... Wrickley tu me le ramène en haut puis tu te grouille de redescendre. Quand à vous, sachez qu'en temps normal on vous aurait embarqué mais aujourd'hui on va faire comme si on croyait à votre histoire et vous laisser partir, mais un conseil... Si vous êtes vraiment un nouveau venu, ne remettez jamais les pieds ici, c'est un véritable enfer."
L'officier avait dit ces derniers mots avec un air sombre, il semblait réellement croire en ce qu'il disait. Le dénomée "Wrickley" enjoignit à Mordren de ramasser ses armes et de passer devant dans l'escalier, tandis qu'il le suivait en le maintenant en joue avec son fusil.
Une fois arrivé en haut il regarda avec un brin d'empathie l'imposant homme.
-"Je le vois dans vos yeux que vous n'êtes pas d'ici, vous n'avez pas encore ce regard propre aux gens qui vivent dans les ruches, un regard étroit, froid et dur. Le lieutenant à raison cela dit, evitez d'aller dans la sous-ruche car vous n'en ressortirez pas. D'autant que ces derniers temps avec le renforcement de la sécurité, vous pouvez être sur de tomber sur des patrouilles à chaque entrée. Bonne continuation..."
Le policier commença à faire volte face pour s'enfoncer à nouveau dans l'escalier.

[Mordren]

Mordren se laissa faire, sentant qu'il était en joue. Il n'était fou au point de lutter contre un homme armé d'un fusil d'assaut...
Une fois arrivés en haut, l'agent lui fit une sorte de morale:

-"Je le vois dans vos yeux que vous n'êtes pas d'ici, vous n'avez pas encore ce regard propre aux gens qui vivent dans les ruches, un regard étroit, froid et dur. Le lieutenant à raison cela dit, évitez d'aller dans la sous-ruche car vous n'en ressortirez pas. D'autant que ces derniers temps avec le renforcement de la sécurité, vous pouvez être sur de tomber sur des patrouilles à chaque entrée. Bonne continuation..."

Mordren ne pouvait pas laisser passer cette chance. Apparemment, ils étaient débordé, vu la manière dont l'ordre était maintenu dans la sous-ruche et ils avaient peut-être besoin d'aide.

-"M'sieur l'agent?"

Il avait une profonde aversion envers l'empire, et aider ses agents était un acte auquel il n'aurait jamais pensé, s'il n'avait été dans le besoin.

-"J'viens d'un monde sauvage ou on doit lutter avec des bêtes terrifiantes, pour survivre... Et ce qui se terre-là dessous, c'est moins que des bêtes... Je veux vous aider à éradiquer cette vermine..."

Il espéra que cette petite phrase impressionna l'agent, sans grande conviction. Son petit numéro sans prétention, il n'était pas habitué à en produire. Dans son monde... Aaaah, son monde... Il lui manquait affreusement...

[Sammaël]

Le policier adressa un regard las à Mordren.
-"Non hélas vous ne savez pas ce qui se terre là dessous, certes les membres des gangs restent des humains mais c'est à se demander si ils leurs restent un brin d'humanité... Quand au reste, c'est bien pire que des bêtes sauvage. Vos bêtes ont au moins l'avantage d'être naturelle, ce sont des animaux. Mais là dessous... Il y a des choses qui n'auraient jamais du voir le jour et j'aimerais cents fois mieux avoir à me battre avec des bêtes sauvages. Maintenant déguerpissez, profitez de votre chance, ne nous faites pas changer d'avis à votre sujet !"


[Hrp: Je n'aime pas trop que l'on mette des couleurs dans les messages Rp mais bon, ton vert ne me génait pas, parcontre le bleu qui détruit les yeux, oublie ça vite fait ! : ]

[Mordren]

Mordren repartit dans l'autre sens... Peut-être que cette andouille impériale avait raison... Qu'il n'était pas prêt à survivre dans la sous-ruche... Il dégagea cette idée de sa tête. Il lui faudrait un guide. Un guide pour le mener dans les tréfonds de la ruche... Ou simplement un contrat... Il passa devant un bar... Un bar... Quoi de mieux pour rencontrer des gens?

Il entra dans ladite taverne, un endroit miteux, à moitié vide, ou les tables en plexi qui parsemaient la salle étaient désaccordée et rayées par des années d'usage. Le bar, composé de lignes épurées, semblait rouiller de toutes parts. Les plafond et le sol étaient sales, et une lampe sur deux ne fonctionnaient pas. La source de lumière la plus puissante étaient encore un longue bande de néons roses, qui surplombaient les miroirs servant de portes aux réfrigérateurs à boissons. Mordren commanda une bière en s'asseyant sur un tabouret, derrière la longue pièce de métal sur laquelle trainaient des choppes à demi entamées. Puis il la sirota tranquillement, écoutant toute information pouvant lui être utile, de la recherche de quelqu'un pour un travail, jusqu'à des gens discutant de l'étage en dessous...

[HRP: Possibilité d'un bordel? On y rencontre encore plus de gens que dans les simples bars, je suppose...]
[HRP:Combien coute une bière?]
[HRP: Jet de perception auditive?]

[Sammaël]

[HRP: Que ce soit pour les différent étages de la ruche, ou les différents quartiers de la Ruche Basse, j'ai fait une description propre à chacun d'entre eux à coter de leur image, donnant des information que vous pouvez utiliser. Donc si tu regarde la description des quartier Ouest, miracle ! La plupart des commerces sont des bars ou des bordel ! Pour la bière considère que tu la payé en Rp, en réalité ca vaut moins qu'un thrône donc on s'embêtte pas trop à ce sujet.]

Mordren n'apprit rien de bien intéressant dans ce bar peu fréquenté, les gens parlaient des informations qu'ils avaient lu, à propos d'un meurtre. Du fait que la sécurité s'était accrue de manière importante, certains disaientt avoir vu des véhicules de l'Arbites circuler dans les rues mais personne ne voulait croire à ce qu'ils disaient. Rien n'y personne ne semblait pouvoir lui donner un contrat intéressant, il ferait mieux de changer d'endroit.

[Hrp: Tu n'as qu'a faire un nouveau post dans les quartier Ouest, tu peux tout à fait inventer le bordel toi même. Sache juste que ce genre de commerce marchant assez bien dans la Ruche Basse, les bordel sont souvent en bon état, plus que la majorité des simples bars.]

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