Appartement de Fedias

[Fedias Panthera]

Toc Toc Toc
Fedias se réveilla, se leva et mit sa combinaison.
Toc Toc Toc
-Ouvrez ! C'est moi.
-C'est bon j'arrive !
Fedias marcha jusqu'à la porte, l'ouvrit et laissa entrer le policier qui frappait à la porte.
-Bonjour. Alors, qu'est-ce qui vous amène ? Vous avez du travail pour moi ?
-Oui, mais cette fois-ci c'est un genre de travail différent. Je vous en parle uniquement parce que je vous fait confiance, alors écoutez bien. Nous savons que notre supérieur est un pourri : il travaille en collaboration avec des gens pas nets...
-Oui des gens comme moi quoi.
-Non pas vraiment. Il traite avec des dealers et des gangs pour son profit personnel. Vous, vous êtes là pour aider la police. Bon ne m'interrompez pas s'il-vous-plaît. Etant bien placé, il est impossible de l'arrêter de façon conventionnelle. Le dernier de nos gars qui a essayé a été arrêté pour trahison.
-Et vous voulez que moi, qui ne suis même pas fonctionnaire, je m'y colle ?
-Vous, personne ne vous connaît. Et puis, une fois qu'il sera mort, on pourra effacer les traces.
-Une mission d'assassinat hein ? Là, si je puis me permettre, il faudra vraiment que la récompense soit à la hauteur...
-Déjà, si il meurt, tu sauras que tu as fait quelque chose de bien pour la ruche. Ensuite, c'est l'un de nous qui le remplace. Un mec que je connais bien. Avoir des accords avec quelqu'un de bien placé, ça peut aider non ? Et puis, si c'est ça que tu veux, tu auras ton argent. Mais attention : si tu te fais chopper, on te connais pas. Fais en sorte que ça passe comme une attaque de gang ou un accident.
-D'accord. Dîtes-moi ce que je dois savoir.
Le policier lui appris l'adresse de sa cible, dans le quartier nord, son nom : Radon Dittern, l'emplacement de ses "contacts" dans le quartier ouest, son itinéraire habituel pour les voir et quelques dangers qui l'attendait.
-Oui et prennez ceci ça peut vous aider.
Il lui remit un paquet. Fedias l'ouvrit et découvrit des vêtements usés et de mauvais genre, un revolver et un briquet.
-Mettez ça si vous voulez simuler une attaque de gang. Changez-vous après et balancez-les dans une benne et fouttez-y le feu. Rittern va dans le quartier sud en dehors des patrouilles pour éviter les collègues, donc vous ne serez pas surpris la main dans le sac. Bonne chance. A moins que vous ayez des questions, je m'en vais.
Fedias réfléchit quelques instants et se rappela quelque chose d'étrange qu'il avait vu lors des informations.
-En fait, vous savez l'incendie d'un immeuble du quartier sud qui est passé aux informations... J'y ai vu un type qui souriait bizarrement en regardant les flammes. Je suis peut être pas flic, mais un mec qui semble heureux et pas le moins du monde surpris par un incendie pareil ne doit pas être parfaitement innocent, si vous voyez ce que je veux dire...
-D'accord, merci pour le renseignement. Allez, au boulot maintenant !
-D'accord, à plus tard.
Le policier sortit. Fedias se prépara comme à son habitude le matin : il se lava sommairement avec une solution hydro-alcoolique, vérifia son matériel, mit son grand et ample manteau de protection et les habits pour le meurtre dans son sac à dos. Son épée bien camouflée sur le côté intérieur gauche du manteau, son petit couteau dépassant d'un trou dans la manche gauche de la combinaison mais pas du manteau, et son fusil dans le dos de la combinaison, soigneuseument camouflé par la matière rigide du manteau. Il ouvrit une boite de conserve qu'il mangea en vitesse et sortit en fermant soigneuseument la porte marqué d'un insigne sacré. Cela faisait un moment qu'il faisait des petits boulots pour la police, mais c'était la première fois qu'il devait tuer un des leurs. Fedias espérait juste qu'il n'aurait pas à le faire souvent... Et il ne l'aurait jamais fait si il n'avait pas suffisemment confiance en son employeur.

La suite ici

[Fedias Panthera]

Fedias rentra chez lui son problème, et vérifia par habitude son répondeur, et tomba sur le message de Thaur. "Et m**de, pas maintenant..." Il remit rapidement ses armes de la même façon que le matin même, en mettant le fusil de proximité dans le haut du sac à dos, facilement accessible et courut rue Howard Kain.

[Sammaël]

La jambe du mercenaire commençait à se paralyser de nouveau, l’effet des stimulants arrivait à expiration et le faisait boiter de manière appuyée.
[Mode Mj]
Hors Mapal fait un test de discrétion et Fedias un test de vigilance, Hors Mapal n’est pas détecté.
[Mode Mj]
Le Morovain n’était pas très bien caché, mais sans doute que sa peau sombre le rendait moins visible aux yeux des passants. D’autant que Fedias était distrait par sa jambe qui commençais à le faire souffrir, il ne remarqua pas Hors Mapal qui l’observais de l’autre coté de la rue.
Ce dernier avait reconnu sa cible, c’était bien l’homme de la photo, et il venait juste de rentrer dans l’immeuble en boitant.

[Hor Mapal]

Mapal continua à regarder l’homme avec un sourire sadique jusqu'à que la proie rentre dans son immeuble.
Il attendit ensuite un moment pour que l’homme soit déjà rentré chez lui puis se dirigea discrètement vers l’entré. Pris un sac en papier remplis d’immondices puis chercha l’étage où résidait sa victime…
En prenant soin de ne pas se faire repérer par le concierge où un autre habitant du voisinage…

Ils pourraient donner l’alarme si ils étaient amis avec le contrat se dit-il à voix basse…
Ce n’est pas très glorieux quand même ! Un cul-de-jatte ! Soit s’est du foutage de gueule soit qu’il sait se battre… grunf ! Restons concentré…

Il prit l’escalier toujours dans ses habits de chiffonniers vers l’étage puis arrivé à celui-ci il scruta depuis l’angle d’un couloire : la porte, la présence de caméra, d’extincteurs, si présence d’œil de bœuf, et l’aspect général du couloir surtout les portes et comment elles avaient été construites pour calculer à combien de mètres il devra disposer le piège…

Il regarda méthodiquement le couloir…

[Fedias Panthera]

Fedias rentra chez lui en boîtant. Il ferma sa porte à clé machinalement, prit une bouteille de bière, lança son sac sur le canapé, s'assit à côté et vérifia le niveau de batterie de son pistolet laser. Ceci fait, il enleva son épée qui le gênait et la lança au loin. Il regretta de ne pas avoir acheté de tablette de données, se promit d'en acheter une, et pensa à sa journée en sirotant sa bière.

[Sammaël]

Le couloir était simple et délabré comme tout immeuble des quartiers Suds, le petit couloir déservaient cinq appartement, trois du coté gauche et deux du coté droit. Celle de la cible était située sur la droite, la plus éloigné de ce coté la. Les portes étaient simple, faites uniquement de bois à ce que l'on pouvait voir, de même pour les serrure, assez basique. Le couloir ne comportait aucun extincteurs, aucunes alarmes incendie ou détecteur de fumée, de même aucunes portes ne comportait d'oeil de boeuf.

[Hrp: J'ai fait un plan afin d'être bien compris.]

[Hor Mapal]

Parfait pensa Mapal…
A pas de loups il se dirigea vers la fenêtre, vérifia qu’elle était bien fermée et que si il y avait des objets en contrebas pour amortir une éventuel chute qu’il enleva pour que la proie ne pensa pas à sauter.
Puis vérifia si il y avait des personnes discrètement en regardant le pas de la porte et si il y avait des traces dans la poussière avec ses talents de chasseurs il conclue que même si il y avait des gens sa devait être courant des blagues de gosse qui tourne mal, ils devraient pas se déranger pour sa ! Puis bon vu l’heure les plus dangereux devaient être au boulot…
Il prit son sac de détritus le répandit sur la bâche préalablement étendue en la couvrant totalement d’ordures. En laissant une traîner vers sa porte pour pas qu’il est la présence d’esprit de prendre un chiffon pour l’éteindre…
Il devrai utiliser ses pieds se disait Mapal malicieusement …
Bien je mets le feu, frappe comme un pressé, je me planque derrière la porte… Mais pas trop près sa serai con qu’il panique, pour me foutre la porte dans la tronche…
Puis je le frappe avec ma barre de fer dans les jambes de toute mes forces sa le tuera pas !
M… puis sa devrait aller vu qu’il boite ! Sa sera facile… sinon bah ! Je le charge gniark ! gniark ! gniark ! S’imagina-t-il …
Mapal installa le plan le plus discrètement possible, mis le feu aux ordures, frappa avec entrain en criant « Monsieur ! Monsieur ! » D’une voix la plus juvénile qu’il pouvais faire. Puis se cacha à coter de l’ouverture de la porte et attendit près à frapper avec son masque .

[Sammaël]

[Hrp: Je laisse Fedias décrire comment il réagis, quand à toi Mapal, esseye de te relire avec plus d'attention car frenchement ton post il donne quelque migraines quand à la compréhension de certaines phrases. Parcontre pour le coter juvénile que tu donne à ta voix, étant donné que j'estime cela assez difficile à faire pour quelqun comme toi, je te fait passer un test de supercherie, que tu rate. Fedias peut considérer qu'il entend une vois d'aspect juvénile mais qui lui parait fausse, il ne peut pas le dire avec certitude mais il a un doute. ]

[Fedias Panthera]

Fedias entendit une voix très étrange l'appeler "monsieur" à la porte. Aucune des personnes qu'il connaîssait dirait cela. Sa paranoïa naturelle se réveilla alors brusquement, auparavant endormie par la tranquilité de sa position. Ca ne ressemblait pas à une voix d'enfant, ça vient juste quand il revenait d'une mission importante, et c'est précisemment chez-lui. Il savait donc ce qu'il avait à faire. Il prit son fusil à pompe, vérifia les cartouches. Si c'était vraiment un danger derrière cette porte, il n'avait aucune chance de la fuir, il devait donc l'affronter. Apparemment, elle ne voulait pas entrer, préférant lui tendre un piège. C'est déjà une bonne chose, cela signifiait que ce n'était pas un redoutable psyker, et qu'il le voulait probablement en vie. De toute façon, cela ne changeait rien à ce qu'il allait faire. Quoique... Non, il n'était pas en assez bon état pour épargner. Il récupéra son épée, composa le numéro du psyker sur son téléphone, mit la table basse près du mur parallèle à la porte et appuya sa jambe dessus. Toutefois, un doute subsistait. Et si c'était vraiment un gosse ? Il pointa la porte, et cria :
-C'est pour quoi ?

[Hor Mapal]

-C'est pour quoi ?
Mince ! s’écria Mapal dans sa cabosse, mais qu’est ce qui m’appris de parler ! Espèce de c… ! Quelle erreur professionnelle !
Mapal toujours avec son masque commença, à activer les braises pour que le vent apporte la fumée sous le pas de la porte et pénètre dans son appartement…
Et dire que je voulais être discret ventre-saint-gris ! dit-il en penser.
Au feu ! Au feu ! Au feu ! Sur le même ton juvénile que navrant, puis se replanqua au même endroit, cette fois-ci avec son 9mm prêt à dégainer, sur le qui-vive. Ne se soucierai même pas d’éventuels ménagères effrayées. Il était concentré sur le moindre bruit, mouvement de porte etc…

[hrp : fusil de proximité ? fusil qui tir dans un corps à corps ? le pistolet est utilisable dans une mêler ( en combat très rapprocher de l’ordre du cm ? Quelle heureuse paranoïa ^ ^ fédias je sais pas mais je ferais gaffe a la fumer vu que s’est des déchet….roo pardon c’est Sammaël qui décide désoler… excuser moi aussi pour le monsieur ! Je sais pas se qui m’apprit, pas fait gaffe, désoler, sa m’apprendra ^^ ! ]

[Sammaël]

[Hrp: Dison que dans mes profils d'armes j'ai plusieur type de fusil à pompe, le fusil de proximité étant légèrement moins puissant que le fusil à pompe classique. Au corps à corps seul les armes de poing ou de corps à corps peuvent être utilisé. En effet tu n'a aucun conseil quand à la conduite que doit prendre Fedias, et non ce n'est pas moi qui décide, je me contente de vérifier que tout est cohérent, pour le moment ca l'est. Sinon quand tu parle d'un monsieur, j'avoue ne pas comprendre de quoi tu parle, désolé Tu repasse un test de supercherie, que tu rate à nouveau, navré mais avec 3 en intelligence et sans compétence adaptée, c'est pas évident Maintenant fedias peut être quasi certains qu'il ne s'agit pas d'un enfant. ]

Le mercenaire s'attendait à avoir la voix du psyker au bout du fil mais il eu à la place un message automatique à la voix de femme synthétique : "Le numéro que vous avez demandez n'est plus attribué."
De la fumée commençait à passer sous sa porte, de même celle ci progressait peu à peu dans le couloir et ne tarderait pas à atteindre les autres appartements. La fenêtre crasseuse ne laissait déja passer que peu de lumière, la fumée s'y ajoutant, il commençait peu à peu à faire sombre dans le couloir.

[Fedias Panthera]

Fedias se dépêcha d'appeler les FAI. Si la situation s'envenimait, il devrait sortir d'ici, mais pas tout de suite. Il ne savait vraiment pas quelle logique suivait la personne de l'autre côté de la porte, mais une chose était certaine : ce n'était pas un gosse. Fedias tira donc dans sa porte. Ceci fait, il mit son respirateur. Il poussa ensuite en sautillant sa table basse de l'autre côté du couloir, ouvrit le robinet de la cuisine à fond et se mit dans la même position que précédemment.

[Hor Mapal]

[hrp :Soit je vais finir cette partie et j’irai me perdre dans un coin de la ville, si c’est un vote de la majorité bah je vais me retirer du jdr, dommage, je tiens aussi à m’excuser envers la communauté si j’ai déçu.
Donc pour finir cette phase d’action mon ancien message qui était je veux bien le reconnaître était tiré par les cheveux je voulais voire où était les limites merci à Sammël de me l’avoir rappelé.]

Avec le précédent tir c’était fichu. Mapal sentait bien qu’il fallait s’enfuir : il prit ses jambe à son cou, dévala les escaliers, et sortis le plus vite possible de la rue, puis sauta dans un de ces cheval-de-fer. Pour se perdre dans la masse.
Pffui ! Quel contrat !

[ hrp: excuser-moi aussi pour l'orthographe,grammaire et autres conjuguaisons ]

[Sammaël]

[Hrp: Ecoute Mapal, ce message est un avertissement. Ton dernier post montre par plusieurs points que tu ne réponds pas aux exigences de ce Jdr qui demande une certaine rigueur comme je te l'ai déjà dit plusieurs fois. Je vais t'expliquer ce qui ne va pas :
-Premièrement l'écriture, on vois que tu passe par un correcteur comme je te l'ai conseillé mais pour autant il y a plein d'erreur de syntaxe, il y a des fois où l'on dois deviner le sens de tes phrases. C'est également parfois difficile de comprendre ce que tu veut exprimer, par exemple en arrachant la porte on a du mal à saisir à quoi elle te sert contre les flammes, c'est très mal expliqué.
-Deuxièmement le petit coté télépathe, certes tu peut lire tout ce qu'il se passe dans l'appartement de Fedias, pour autant ton personnage n'en a aucunes idée. Dès que Fédias précise qu'il appelle les F.A.I, comme par enchantement ton personnage se dit que Fedias a du les appeler. On voit en permanence les actions des autres joueurs mais il faut se forcer à rentrer dans la peau de son personnage et à oublier tout ce que l'on a pu lire sur les autres. Sinon le Jdr perd toute cohérence, c'est une des bases du Rp.
-Troisièmement la cohérence, ce que tu fais n'est pas toujours cohérent. Tu prétend arracher une porte, tu ne précise pas laquelle, je suppose donc que c'est celle d'un appartement voisin ? Tu crois vraiment pouvoir arracher une porte fermée comme ça ? De plus tu ne crois pas qu'il y a des gens dans l'appartement auquel tu prends la porte ? Enfin, après le poste de Fedias c'était à moi de poster, afin de préciser si il arrivait à joindre les F.A.I (Force Anti Incendie, les pompiers en clair), l'effet qu'avait le tir sur la porte, si une ménagère sortait suite au bruit de la détonation...

Je vais être franc avec toi, je ne pense pas que tu ais suffisamment de rigueur pour jouer à Impérialis et je sais que mon avis est partagé par d'autres. Peut être que je n'aurais pas du te donner cette mission pour un début et j'avoue le regretter maintenant, pour autant je sais que si je l'avais à mes autres joueurs ils auraient sut à peu près la gérer comme il se doit. Là par exemple la fuite serait une bonne idée, lorsque tu vois que ton plan est proche de l'échec, le mieux est encore de partir. Mais peut être que je me trompe ? Peut être que tu est tout à fait capable d'être à la hauteur de mes autres joueurs ? Dans ce cas prouve le, conduis toi tel que le font les autres, soit rigoureux.
J’attends ta réponse et l'édit de ton précédent message avant de faire quoi que ce soit d'autre.]

[Sammaël]

Fedias vit une silhouette passer devant quelques instant après son tir, l’écho de ses pas résonnèrent dans la cage d’escalier avant de disparaître. Désormais le mercenaire pouvait voir par l’orifice les flammes qui léchaient sa porte, une fumée acre commença à se répandre dans son appartement. Du couloir il reconnut la voix de la ménagère d’a coté :
-« Au feu ! Au feu ! Vite appeler les F.A.I ! »
Fedias pu entendre les portes d’autres appartements s’ouvrir tandis que les gens sortaient, alerté par les cris de la femme. Les flammes n’étaient pas encore très importantes, elles commençaient à prendre sur la porte et le mur de l’appartement de Fedias, la moquette du couloir commençait également à s’enflammer.

[Hrp: On ne procédera pas à un vote Mapal, c'est à toi de juger si tu pense pouvoir continuer, ou si ce n'est pas fait pour toi. A toi de jouer, ou d'abandonner.]

[Fedias Panthera]

Fedias mit un contenant sous le robinet pour qu'il se remplisse. Toutefois, il ne pouvait pas être sûr que c'était bien son ennemi qui était partit... Il s'approcha de la fenêtre et vérifia si la personne sortante ressemblait à un de ses voisins ou à quelqu'un de louche, puis s'apprêta à envoyer l'eau sur le feu, prêt à dégainer à tout moment.

[Sammaël]

[Hrp: A vrais dire j'avais répondu hier mais j'ai tout perdu à cause de ma connection...]

Le mercenaire vit un homme de haute stature sortir au bas de l’immeuble, à ce qu’il pouvait voir il ne s’agissait pas d’un voisin, aucun d’eux n’avait la peau sombre.
Une fois son contenant plein il entreprit d’attaquer les flammes sur sa porte et s’aperçu que d’autres habitants s’y était mis eux aussi, en quelques minutes le début d’incendie fut éteint.
Certains firent mentions d’un grand bruit qu’ils avaient entendu, heureusement la porte était trop calcinée pour que l’on puisse en déduire qu’il s’agissait du coup de feu qui l’avait éventrée. D’autres prétendirent avoir vu un grand homme à la peau sombre s’enfuir dans le couloir et que ce devait lui l’auteur de l’incident. Finalement tout le monde rentra chez soi au bout de quelques minutes, l’un d’entre s’étant occupé de prévenir les F.A.I de la fausse alerte. Quand à la police, aucune voiture de patrouille ne vint à l’immeuble, la Ruche Basse n’était pas prête de changer…

[Fedias Panthera]

Fedias fut soulagé que l'incendie n'était en fait qu'un petit feu. Mais il ne pouvait pas être optimiste pour autant : cet homme n'était certainement pas venu ici par hasard, ses ennemis connaissaient donc son adresse. Il regarda autour de lui, se demandant ce qu'il allait en faire. Tant qu'il se sentirait en danger dans sa propre demeure, il n'aurait pas la paix. Que faire ? Il devait se reposer, mais pas ici, même s'il remplaçait sa porte. Il regarda une fois encore autour de lui, et remarqua qu'il n'avait rien auquel il tenait vraiment ou qui avait de la valeur ; il n'aurait donc aucune peine à partir. Mais où ? Il ne savait pas où habitait ceux avec qui il venait de risquer ça vie, et c'était ceux qui avaient le plus de chance de l'accepter. Il n'aimait pas dormir à l'hôtel, il ne s'y sentait pas en sécurité et on pouvait suivre sa trace, mais il n'avait pas le choix. Il prit son sac, emporta ce qui pouvait être compromettant comme son téléphone, puis ce qu'il jugeait utile, et partit à la recherche d'un hôtel correct en surveillant ses arrières avec paranoïa.

[Fedias Panthera]

En quittant l'arbites, Fedias repartit tranquillement vers l'Hôtel Klavius'. Il paya, récupéra ses affaires et repartit à son appartement. Il le fouilla de fond en comble, et y découvrit bien peu de nouveau, ses poursuivants ayant sans doute quitté rapidement les lieux après avoir constaté l'absence de son propriétaire. Il remit de l'ordre, se réinstalla, brancha son téléphone et passa le reste de la journée à se reposer. Il passa quelques jours ainsi, le temps pour ses blessures de se résorber suffisamment.
Une fois sa jambe complêtement remise, il partit en direction de la planque de Boris Strozzi, en quête de travail. Le mafieu lui donna quelques missions à remplir, principalement contre des gangs qui lui causaient de nombreux ennuis. Son fusil à pompe dut s'exprimer nombre de fois, lui permettant de maîtriser plus encore son maniement. En effet, Fedias se rendit compte ainsi qu'il parvenait à toucher les parties du corps qui l'intéressait sans même y réfléchir, et ce avec une précision accrue qu'autrefois. Les récompenses de son travail ne s'arrêtait bien sûr pas là, son commanditaire lui remit lors de ses missions un fusil à pompe de combat avec viseur laser, un modèle au dessus du sien, et lui offrit de le lui reprendre. Il reçut également des munitions dont certaines spéciales, lui permettant de garder ses cibles en vie, en vue d'un interrogatoire par exemple.
Entre chaque contrat menés à bien pour la pègre, le mercenaire recevait également des appels de son contact à la Police Planétaire. Il lui fit un rapport, qui impressionna le policier au plus haut point... Il lui donna ensuite quelques missions à faire, et avec les conseils du policier et de ses propres déductions lors des enquêtes où il participait, il apprit plusieurs choses, notamment sur la façon de résonner et de mener une enquête. Il fit plusieurs missions liant le mafieu et la police, permettant à Boris de voir disparaître quelques uns de ses ennuis en même temps que la criminalité diminuait très légèrement. Fedias fut récompensé cette fois normalement par de l'argent.
Plusieurs fois, il rendit visite à l'ecclésiaste et au psyker, paufinant encore sa compréhension de l'esprit humain au contact des adeptes et de ses camarades eux-même, qui avaient appris avant lui qu'il était possible de comprendre et de manipuler un homme si on savait s'y prendre. Il avait également était reçu dans les volontaires pour les FAI. Il put ainsi aider la communauté, et ce même si cela ne lui servait plus pour la mission, et cela lui fit penser à faire traîter son armure contre le feu, au cas où.

En résumé, 2 mois s'écoulèrent pour Fedias dans l'activité, entre les contrats pour la pègre, la police et sa participation pour la communauté à travers son aide envers la reconstruction de l'Eglise et son volontariat chez les FAI.

[Fedias Panthera]

"Bonjour, Je suis le Père Makluen... je te contacte car j'ai besoin de ton aide, viens chez moi dés que tu pourra! Rassure-toi, il n'y a pas de mal, pour l'instant..."
Fedias reçut le message en rentrant chez lui le soir même, après avoir passé sa journée à jouer aux cartes avec des membres de la mafia de Strozzi avec qui ils travaillaient de temps en temps. Il ressortit aussitôt en direction de l'église, impatient de découvrir ce que Thaur avait à lui dire.

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