Rue des fauchards
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Imperialis :: Jeu de Rôle :: Sephêris -Monde Ruche- :: Cité Ruche Archaos -Capitale- :: Ruche Basse :: Quartier marchand de la Ruche Basse
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Rue des fauchards
Fedias se dirigea vers l'emplacement caché où il avait l'habitude de recevoir ses récompenses, mais au lieu de billets il trouva un papier : <<Rendez-vous 42, rue des fauchards, quartier marchand. 2e étage>>. "Mais qu'est-ce qu'il me prépare encore ?". Il se rendit au lieu indiqué, un magasin loin des rues fréquentées. La porte vitrée était fracassée, et l'intérieur ravagé. Des étages supérieurs partaient des éclats de voix violents. Peu rassuré, il monta silencieusement les escaliers, et, une fois hors de vue de la rue, il dégaina son fusil de proximité et mit la cagoule de la combinaison. Au 2e étage, la porte était grande ouverte. Il aperçut les mains bien en l'air de son contact, et un individu visiblement à bout de nerf le tenait en joue avec une arme que Fedias ne pouvait pas voir, car l'homme était dos à lui. Il s'approcha silencieusement du forcené, avançant petit-à-petit à chacun de ces hurlements.
-Je ne parlerai pas ! Si vous croyez pouvoir venir chez les gens comme ça et risquer leurs vies, sans conséquences ! Vous êtes malade ! Je ne sais pas pourquoi je ne vous ai pas déjà abattu !
-Calmez-vous monsieur... Je veux simplement vous aider ! Si ces individus vous ont déjà fait du mal, ils peuvent à tout moment recommencer, et c'est pour cela qu'il faut les arrêter.
-Ils m'ont menacé de me tuer, moi et tous ceux qui travaillent ici si je parle ! Et il vont penser que je l'ai fait si vous sortez vivants d'ici ! Je... Je veux pas mourir !
A ce moment, Fedias lui colla le canon de son arme à l'arrière de la tête, et déclara d'une voix posée particulièrement inquiétante :
-Alors lâchez immédiatement votre arme.
-D'accord d'accord... Pitié... Me faîtes pas de mal !
L'homme laissa tomber son arme sur le sol et tomba à 4 pattes en pleurant. A ce moment, Fedias se rendit compte que son commanditaire était en civil.
-Dîtes, c'est quoi que vous me faîtes-là sergent ? Je veux pas être mêlé à vos enquêtes secrête comme cela à votre guise !
Le policier releva l'homme, le plaqua contre le mur, l'amena dans une pièce où il ne pourrait pas entendre leur conversation et le menotta à une barre horizontale d'une table en bois solide. Après avoir fermé les portes, il revînt ensuite vers le mercenaire et commença à lui parler :
-Désolé pour cet imprévu. Je croyais que j'en aurai fini avec lui avant votre arrivée. Vous avez fait vite tout de même.
-Heureusement. Sinon en entrant j'aurai vu un suicidé et un agent éparpillé.
-Non. Ca ne se voyait peut être pas, mais je contrôlais la situation. Encore un peu de temps et cela aurait été réglé calmement.
-Si vous le dîtes. Vous avez ma récompense ?
-Oui, mais j'aimerai en parler avec vous.
-Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je ne vais pas aimer ce qui va suivre. Bon, je vous écoute.
-Vous avez une preuve de sa mort ?
-J'ai son badge et quelques autres trucs. Il le sortit de ses vêtement, essuya ses empreintes par sécurité et le lui tendit sans contact direct. Il fit ensuite de même avec les papiers et les cartes.
-Merci. Rien d'autre ?
-Si, pour cacher l'assassinat derrière le vol. Mais vous n'en avez pas besoin à ce que j'en sais.
-Vous avez donc été en partie récompensé.
-Alors non, vous allez pas me faire ce coup là ! Des balles, j'en ai senti pas loin de moi, et j'ai dû faire une course à travers les rues pour semer vos collègues, et si ils me poursuivaient, ce n'était certainement pas pour me coller une amende ! Ce travail était bien au-dessus de ce que vous me demandez de faire d'habitude, et j'estime devoir être rémunéré en conséquence.
-Je ne parlerai pas ! Si vous croyez pouvoir venir chez les gens comme ça et risquer leurs vies, sans conséquences ! Vous êtes malade ! Je ne sais pas pourquoi je ne vous ai pas déjà abattu !
-Calmez-vous monsieur... Je veux simplement vous aider ! Si ces individus vous ont déjà fait du mal, ils peuvent à tout moment recommencer, et c'est pour cela qu'il faut les arrêter.
-Ils m'ont menacé de me tuer, moi et tous ceux qui travaillent ici si je parle ! Et il vont penser que je l'ai fait si vous sortez vivants d'ici ! Je... Je veux pas mourir !
A ce moment, Fedias lui colla le canon de son arme à l'arrière de la tête, et déclara d'une voix posée particulièrement inquiétante :
-Alors lâchez immédiatement votre arme.
-D'accord d'accord... Pitié... Me faîtes pas de mal !
L'homme laissa tomber son arme sur le sol et tomba à 4 pattes en pleurant. A ce moment, Fedias se rendit compte que son commanditaire était en civil.
-Dîtes, c'est quoi que vous me faîtes-là sergent ? Je veux pas être mêlé à vos enquêtes secrête comme cela à votre guise !
Le policier releva l'homme, le plaqua contre le mur, l'amena dans une pièce où il ne pourrait pas entendre leur conversation et le menotta à une barre horizontale d'une table en bois solide. Après avoir fermé les portes, il revînt ensuite vers le mercenaire et commença à lui parler :
-Désolé pour cet imprévu. Je croyais que j'en aurai fini avec lui avant votre arrivée. Vous avez fait vite tout de même.
-Heureusement. Sinon en entrant j'aurai vu un suicidé et un agent éparpillé.
-Non. Ca ne se voyait peut être pas, mais je contrôlais la situation. Encore un peu de temps et cela aurait été réglé calmement.
-Si vous le dîtes. Vous avez ma récompense ?
-Oui, mais j'aimerai en parler avec vous.
-Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je ne vais pas aimer ce qui va suivre. Bon, je vous écoute.
-Vous avez une preuve de sa mort ?
-J'ai son badge et quelques autres trucs. Il le sortit de ses vêtement, essuya ses empreintes par sécurité et le lui tendit sans contact direct. Il fit ensuite de même avec les papiers et les cartes.
-Merci. Rien d'autre ?
-Si, pour cacher l'assassinat derrière le vol. Mais vous n'en avez pas besoin à ce que j'en sais.
-Vous avez donc été en partie récompensé.
-Alors non, vous allez pas me faire ce coup là ! Des balles, j'en ai senti pas loin de moi, et j'ai dû faire une course à travers les rues pour semer vos collègues, et si ils me poursuivaient, ce n'était certainement pas pour me coller une amende ! Ce travail était bien au-dessus de ce que vous me demandez de faire d'habitude, et j'estime devoir être rémunéré en conséquence.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Rue des fauchards
-Des balles ? Pourtant le central à été averti bien tardivement, a moins que… Dites moi ils étaient habillé comment ceux qui vous ont tiré dessus ?
-De même que votre commissaire, à l’ancienne avec costume, haut-de-forme et tout ce qui suis. On peut dire qu’il avait la gâchette facile aussi…
-C’est ce qu’on craignait avec les autres, il y avait des rumeurs comme quoi Dittern s’était confectionné un petit noyau secret d’agent à ses services. Tous aussi pourries que leur patron bien entendu…
-Et vous ne m’aviez rien dit ? Raison de plus pour me donner ma récompense, et qu’elle soit à la juste valeur de mes services.
-Bon d’accord, les voila vos biffetons…
Le policier sortit une liasse représentant 50 trônes et s’empressa d’ajouter en voyant la mine du mercenaire :
- Ca en plus de tout ce que vous avez pu trouver sur Dittern, sans oublier la sympathie du nouveau commissaire.
-De même que votre commissaire, à l’ancienne avec costume, haut-de-forme et tout ce qui suis. On peut dire qu’il avait la gâchette facile aussi…
-C’est ce qu’on craignait avec les autres, il y avait des rumeurs comme quoi Dittern s’était confectionné un petit noyau secret d’agent à ses services. Tous aussi pourries que leur patron bien entendu…
-Et vous ne m’aviez rien dit ? Raison de plus pour me donner ma récompense, et qu’elle soit à la juste valeur de mes services.
-Bon d’accord, les voila vos biffetons…
Le policier sortit une liasse représentant 50 trônes et s’empressa d’ajouter en voyant la mine du mercenaire :
- Ca en plus de tout ce que vous avez pu trouver sur Dittern, sans oublier la sympathie du nouveau commissaire.
Re: Rue des fauchards
Fedias vérifia que personne ne les écoutait dans le couloir, puis déclara avec froideur :
-Vous vous moquez de moi ? Je tue quelqu'un dans la rue, ses amis rappliquent et me tirent dessus, ces mêmes amis dont vous aviez entendu parler sans pouvoir vérifier leur existance jusqu'à ce que j'arrive, puis au rendez-vous j'empêche un fou furieux de vous abattre, et tout ce que vous me donnez, c'est 50 ? Ou votre commissaire a autant de pouvoir que le gouverneur planétaire, ou vous me donnez le quadruple, ce qui est juste le strict minimum, toutes circonstances comprises. Parce que les 20 trônes et la montre que j'ai trouvé sur lui, je le prends aussi en compte. Vous savez que j'ai toujours été honnête avec vous : si j'avais voulu vous arnaquer, je l'aurai déjà fait depuis longtemps. Après tout, Dittern était techniquement votre supérieur, et si il était vraiment tel vous le dîtes, il n'aurait pas eu de scrupules à vous exécuter si je vous balançais, et j'aurais pu toucher beaucoup plus pour une dénonciation. Je ne l'ai pas fait, parce que je respecte mes employeurs, que je choisis toujours dans la bonne cause. Mais là, c'est de l'escroquerie ce que vous me faîtes, et je ne peux pas laisser passer cela. Avec tout le respect que je vous dois, c'est au-delà de ce que je peux supporter. Ceci avec le fait que vous m'avez potentiellement grillé en me forçant à prendre mon arme sans couverture, à cause d'une erreur de calcul à vous. Si vous avez une vraiment bonne raison de me faire cela, dîtes-le moi, je peux être compréhensif. Mais tout ce que je vois maintenant, c'est une escroquerie innommable doublé d'un manque de respect impardonnnable.
-Vous vous moquez de moi ? Je tue quelqu'un dans la rue, ses amis rappliquent et me tirent dessus, ces mêmes amis dont vous aviez entendu parler sans pouvoir vérifier leur existance jusqu'à ce que j'arrive, puis au rendez-vous j'empêche un fou furieux de vous abattre, et tout ce que vous me donnez, c'est 50 ? Ou votre commissaire a autant de pouvoir que le gouverneur planétaire, ou vous me donnez le quadruple, ce qui est juste le strict minimum, toutes circonstances comprises. Parce que les 20 trônes et la montre que j'ai trouvé sur lui, je le prends aussi en compte. Vous savez que j'ai toujours été honnête avec vous : si j'avais voulu vous arnaquer, je l'aurai déjà fait depuis longtemps. Après tout, Dittern était techniquement votre supérieur, et si il était vraiment tel vous le dîtes, il n'aurait pas eu de scrupules à vous exécuter si je vous balançais, et j'aurais pu toucher beaucoup plus pour une dénonciation. Je ne l'ai pas fait, parce que je respecte mes employeurs, que je choisis toujours dans la bonne cause. Mais là, c'est de l'escroquerie ce que vous me faîtes, et je ne peux pas laisser passer cela. Avec tout le respect que je vous dois, c'est au-delà de ce que je peux supporter. Ceci avec le fait que vous m'avez potentiellement grillé en me forçant à prendre mon arme sans couverture, à cause d'une erreur de calcul à vous. Si vous avez une vraiment bonne raison de me faire cela, dîtes-le moi, je peux être compréhensif. Mais tout ce que je vois maintenant, c'est une escroquerie innommable doublé d'un manque de respect impardonnnable.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Rue des fauchards
Le policier prit un moment pour considérer son interlocuteur, se tenant la taille des deux mains alors qu’il réfléchissait à ce qu’il venait d’entendre.
-D’accord, d’accord… Je vous ais mal jugé, je m’aperçois que vous n’êtes pas une de ces brutes que j’ai l’habitude de rencontrer. Vous êtes réglo et j’aimerais en faire de même, réellement. Mais vous savez, vous comme moi, on est dans le même merdier. Ici c’est la Ruche Basse mon gars, on galère tous pour s’en sortir. Ce coup que l’on a organisé était fait pour nous sortir de l’ordinaire… Dittern était une pourriture, plus que tout autre dans cette maudite ruche, mais il n’est pas le seul. Son remplaçant, celui qui nous avait promis monts et merveilles si on l’aider à devenir Commissaire… Il s’avère qu’il commence à devenir aussi corrompu que feu Dittern. Il devait nous payer grassement une fois sa promotion et la prime qui va avec en poche, mais on dirait qu’il a décidé de changer les plans. En gros il nous a refilé des miettes pour assurer ses arrières, et m’a dit de vous donner ça pour récompenser vos services. Nous on est que de simple agents, on est pas plus friqué que vous, à la différence qu’on à le malheur d’avoir une famille. J’aimerais vous filer plus, vous le méritez. Mais je ne peux pas faire apparaître les billets… Ne nous en voulez vous pas, la vie vient juste de nous montrer qu’elle sera toujours aussi pourrie pour nous que pour vous et que rien n’y changera.
Le policier semblait sincère et au bout du rouleau, tout le poids et le stress de sa vie désuète semblaient réellement lui tomber sur les épaules à cet instant précis.
-D’accord, d’accord… Je vous ais mal jugé, je m’aperçois que vous n’êtes pas une de ces brutes que j’ai l’habitude de rencontrer. Vous êtes réglo et j’aimerais en faire de même, réellement. Mais vous savez, vous comme moi, on est dans le même merdier. Ici c’est la Ruche Basse mon gars, on galère tous pour s’en sortir. Ce coup que l’on a organisé était fait pour nous sortir de l’ordinaire… Dittern était une pourriture, plus que tout autre dans cette maudite ruche, mais il n’est pas le seul. Son remplaçant, celui qui nous avait promis monts et merveilles si on l’aider à devenir Commissaire… Il s’avère qu’il commence à devenir aussi corrompu que feu Dittern. Il devait nous payer grassement une fois sa promotion et la prime qui va avec en poche, mais on dirait qu’il a décidé de changer les plans. En gros il nous a refilé des miettes pour assurer ses arrières, et m’a dit de vous donner ça pour récompenser vos services. Nous on est que de simple agents, on est pas plus friqué que vous, à la différence qu’on à le malheur d’avoir une famille. J’aimerais vous filer plus, vous le méritez. Mais je ne peux pas faire apparaître les billets… Ne nous en voulez vous pas, la vie vient juste de nous montrer qu’elle sera toujours aussi pourrie pour nous que pour vous et que rien n’y changera.
Le policier semblait sincère et au bout du rouleau, tout le poids et le stress de sa vie désuète semblaient réellement lui tomber sur les épaules à cet instant précis.
Re: Rue des fauchards
Fedias ne savait pas quoi penser du changement d'humeur subite de son interlocuteur. Essayait-il de l'avoir en jouant sur les sentiments ? Dans tous les cas, il ne pouvait plus se permettre de demander sa juste rénumération, et cela, il le prenait mal. Même si il possédait un sens de la morale plus développé que la moyenne des mercenaires, il n'en était pas moins un. Si ce commanditaire mauvais payeur n'était pas un policier qu'il connaissait depuis un moment, sa réaction aurait été beaucoup moins conciliante. Il soupira.
-Alors en ce cas, ne me demandez pas de faire des choses pareilles. Je vous signale tout de même que ce boulot est mon seul moyen de subsistance... Bon, sachez que je ne l'aurais fait pour personne d'autres, mais je vais considérer que c'est le nouveau commissaire le mauvais payeur à votre place, donc si vous avez une idée à ce propos, vous savez où me trouver. Bref, je suppose que si je suis ici, ce n'est pas pour rien n'est-ce pas ?
-Je... Oui, effectivement. J'ai besoin de quelqu'un pour escorter cet homme sans attirer l'attention.
-Une minute, vous avez de quoi payer cette fois ?
-Je vous paierai au fur et à mesure de mes rentrées...
-Vous avez intérêt. Ma patience a des limites.
-Et si vous arrivez à finir tout le travail, je vous garantis une prime substantielle dont vous ne serez pas déçu.
-Tout le travail ? Vous voulez me faire faire un boulot à long terme ?
-Oui, on peut dire cela. Avez-vous déjà entendu parler du gang de la Rose Noire ?
-Attendez, ne me dîtes pas que vous voulez que je leur fasse quelque chose, parce que si ils n'avaient pas été là, j'aurai été bien mal en point aujourd'hui ! Ils m'ont beaucoup aidé dans le passé.
-Peut être. Mais ils ont changés...
-Alors en ce cas, ne me demandez pas de faire des choses pareilles. Je vous signale tout de même que ce boulot est mon seul moyen de subsistance... Bon, sachez que je ne l'aurais fait pour personne d'autres, mais je vais considérer que c'est le nouveau commissaire le mauvais payeur à votre place, donc si vous avez une idée à ce propos, vous savez où me trouver. Bref, je suppose que si je suis ici, ce n'est pas pour rien n'est-ce pas ?
-Je... Oui, effectivement. J'ai besoin de quelqu'un pour escorter cet homme sans attirer l'attention.
-Une minute, vous avez de quoi payer cette fois ?
-Je vous paierai au fur et à mesure de mes rentrées...
-Vous avez intérêt. Ma patience a des limites.
-Et si vous arrivez à finir tout le travail, je vous garantis une prime substantielle dont vous ne serez pas déçu.
-Tout le travail ? Vous voulez me faire faire un boulot à long terme ?
-Oui, on peut dire cela. Avez-vous déjà entendu parler du gang de la Rose Noire ?
-Attendez, ne me dîtes pas que vous voulez que je leur fasse quelque chose, parce que si ils n'avaient pas été là, j'aurai été bien mal en point aujourd'hui ! Ils m'ont beaucoup aidé dans le passé.
-Peut être. Mais ils ont changés...
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Rue des fauchards
Ce n’est à vrais dire qu’une rumeur, mais certains faits récents semble la confirmer. Il se trouve que la Rose Noire ne semble plu apporter son aide à ce dans le besoin, voila plus de deux mois qu’ils n’ont pas effectué leurs redistributions habituelles. De plus beaucoup d’habitants se plaignent d’être forcé de devoir garder le silence, il semblerait que la Rose Noir fasse pression sur eux. Nous ne savons pas encore vraiment pourquoi, apparemment il instillent la peur dans la population afin de peut être pouvoir en tirer profit par la suite, et aussi pour dissimuler leurs nouvelles intentions qui ne semblent pas très orthodoxes. Nous n’avons absolument aucunes preuves mais certains d’entre nous pensent que la Rose Noir est impliqué dans tout ces meurtres et incidents de ces dernières semaines. Hélas leur réputation bienveillante les suit toujours et nos supérieurs ne veulent pas entendre que le gang puisse faire partir des suspects… Bien nombreux sont les gens qui ont été aidés par le passé et il est difficile de changer les idées reçues. Moi n’ais que des doutes sur leurs implication, et tant qu’il seront totalement dénué de fondements, il est inutile pour nous de vouloir débuter une enquête. D’autant que si la Rose Noire est belle est bien à l’origine de tous ces incidents, il semblerait qu’elle ait changé sa règle d’honneur qui était de ne jamais tuer. C’est pour ça que j’ai besoin de vous, vous pouvez agir dans l’ombre sans que la Rose noire ne soit informé de votre enquête. Alors que nous, nous serions détectés dés le lancement de la moindre procédure… Le gang à des oreilles partout et en particulier chez nous, soyez très prudent et agissez avec discrétion car si un jour vous ne reveniez pas me faire votre rapport, je serais certes fixé sur l’implication de la Rose Noire, mais je ne serais pas plus avancé au niveau des preuves.
Si vous avez des questions, je peux essayer d’y répondre, bien que je n’en sache guère plus à leur propos.
Si vous avez des questions, je peux essayer d’y répondre, bien que je n’en sache guère plus à leur propos.
Re: Rue des fauchards
-D'accord je vois. Bon, et vous voulez que j'en fasse quoi de l'homme attaché ?
-Ah oui, l'homme. Ammenez-le au poste de police.
-Vous pouvez me payer pour cela ?
-Non mais...
-Alors débrouillez-vous. Je dois rentrer chez-moi, je n'avais pas prévu autant d'évènements en me levant ce matin, et je n'ai pas l'intention de continuer sans être payé convenablement. Après tout, vous pouvez le faire puisque vous êtes en civil.
Le policier soupira.
-Bon, puisque je n'ai pas le choix...
-Désolé. Rassurez-vous, je ne vous aurai pas laissé comme ça si vous n'aviez pas de solution alternative. Au revoir.
-Au revoir.
Fedias rentra donc chez-lui, dans l'intention de se reposer après cette dure journée.
-Ah oui, l'homme. Ammenez-le au poste de police.
-Vous pouvez me payer pour cela ?
-Non mais...
-Alors débrouillez-vous. Je dois rentrer chez-moi, je n'avais pas prévu autant d'évènements en me levant ce matin, et je n'ai pas l'intention de continuer sans être payé convenablement. Après tout, vous pouvez le faire puisque vous êtes en civil.
Le policier soupira.
-Bon, puisque je n'ai pas le choix...
-Désolé. Rassurez-vous, je ne vous aurai pas laissé comme ça si vous n'aviez pas de solution alternative. Au revoir.
-Au revoir.
Fedias rentra donc chez-lui, dans l'intention de se reposer après cette dure journée.
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