Arrestation de Thaur
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Arrestation de Thaur
Le trajet sur l’inconfortable banquette à l’arrière du fourgon prit une demi heure avant qu’enfin la porte ne s’ouvre sur le parking entouré de hauts grillages barbelés du Central de Police. De gros projecteur éclairait la scène d’une lumière blafarde et aveuglante tandis que les agents emmenaient le prêtre à l’intérieur du bâtiment, vers une salle d’interrogatoire très simple. Avec pour seul ameublement une table, deux chaises et un plafonnier, sans oublier un cendrier où un officier venait d’écraser un cighalos avant de s’en rallumer un autres. Le prêtre fut laissé seul dans cette pièce, les mains toujours liées dans le dos.
-Je vous en prie, prenez une chaise.
L’interrogateur retint un sourire en voyant le prêtre s’asseoir tant bien que mal sur la chaise en métal malgré ses menottes.
-Savez vous pourquoi vous êtes ici mon père ? Où devrais-je dire Père Makluen ?
[Hrp: On va faire une discussion Rp sur msn, comme avec Ailoen, ce sera mieux.]
-Je vous en prie, prenez une chaise.
L’interrogateur retint un sourire en voyant le prêtre s’asseoir tant bien que mal sur la chaise en métal malgré ses menottes.
-Savez vous pourquoi vous êtes ici mon père ? Où devrais-je dire Père Makluen ?
[Hrp: On va faire une discussion Rp sur msn, comme avec Ailoen, ce sera mieux.]
Re: Arrestation de Thaur
-Je suis beaucoup les informations numériques de la ruche basse... je suppose que c'est de l'incident de ce matin dont vous voulez parler?
-Exactement. Un témoin vous a vu en bas de l'immeuble au moment de l'explosion. Il vous a ensuite vu vous enfuir rapidement. De plus nous avons ce témoignage du tenancier qui dit vous avoir indiqué l'appartement de Mr Steinway juste avant le meurtre. Vous comprenez donc que vous êtes dans de sales draps...
Il souffla un nuage de fumée en attendant sa réaction.
- Dans de sales draps? Avez-vous des preuves, monsieur, de ma culpabilité?
-Vous êtes pour l'heure un suspect, et deux témoins nous poussent à croire que vous êtes impliqué dans l'affaire. La coïncidence est curieuse que vous vous retrouviez chez Mr Steinway juste avant sa mort. Je vous invite donc à m'expliquer votre version des faits en détails.
-Ce matin, je suis allé dans les quartiers Nord. Je cherchait M. Steinway, et pour le trouver, j'ai demandé au tenancier d'un bar, le "Old Billy" je crois, et je lui ai demandé où habitait m. Steinway. Il m'a dit qu'il devait sûrement être chez lui, car il passait certaines journées à son domicile pour développer ses clichés. Vous savez sûrement que Steinway était photographe.
Je me suis donc rendu chez M; Steinway, rue des miracles. J'ai eu un entretien avec lui, au sujet de certaines de ses photos qui m'intéressaient, et de l'évènement dramatique qui a eu lieu dans le quartier il y a peu... Vous savez combien les gens ont été touché par ce crime horrible, il faut que l'écllesiarchie soit à leur coté.
-Des photos vous dite ? En quoi cela regarde t'il un membre de l'Ecclesiarchie ?
-L'Art n'est pas une question d'Ecclesiarchie se me semble, d'autant plus que la photo est un des moyens les plus sur de transmettre la foie dans les quartiers les plus pauvres, étant donné le faible taux d'alphabétisation.
-Oubliez vos excuses d'Ecclésiaste, je vous demande quel lien avaient ces photos avec le meurtre ?
-Elles représentaient la scène du meurtre
-Et en quoi cela vous concernait ?
-La mort nous concerne tous, non?
Il sourit avant de lui lancer une bouffée de fumée acre au visage.
-Inutile de philosopher avec moi Mr Makluen...Je vous conseil fortement de me répondre franchement.
-Père Makluen je vous prie
L'interrogateur se leva, un sourire narquois sur le visage avant de se pencher et d’approcher sa bouche très près de son visage.
-Très bien, Père Makluen.
Il avait craché les mots en même temps qu’un nuage de fumée épais.
-Merci. Si vous avez réussit à remonter jusqu'à moi, vous savez aussi ce que je fais, non? Vous avez bien rencontré un évêque, non?
-En effet, je sais tout ce que vous faites. Et je trouve très étrange que l'Ecclesiarchie trempe autant dans cette affaire. Cela ne vous concerne pas.
-Par des sermons et le soutien au peuple, pas en faisant le travail dédié à la Police. Vous n'êtes en rien des professionnels, vous n'avez aucunes compétences en la matière.
-Est-ce tout ? Ou devrons-nous discourir longtemps sur la hiérarchie Impériale?
Il ricana, allumant un autre cighalos. Déclenchant aussitôt un soupir chez le prêtre.
-Vous êtes tous les même, grand orateur, vous croyez avoir toujours le dernier mot.
Et vous voulez que je vous dise ? Votre évêque à déjà fait pression sur nous pour que vous soyez relâché immédiatement.
Il se leva, se rapprochant de toi en contournant le bureau.
Mais tout ne sera pas toujours aussi simple, vous n'aurez pas toujours le dernier mot Makluen. Je n'aime pas que l'Ecclesiarchie s'occupe d'affaire judiciaire dans notre dos et je ne vous apprécie pas. Vous êtes faux et fourbes, et sachez que votre vie ne sera plus aussi simple à présent. Vous aller être relâcher certes, et profitez bien de votre joie car cela ne durera pas. Vous ne ferez pas un pas sans que l'un de mes hommes soit derrière vous. Et à la moindre erreur, vous serez à moi. J'aurez le dernier mot vous pouvez me croire.
Il se trouvait derrière le prêtre et le toisait avec mépris à présent.
- Vous voulez le dernier mot? Prenez-le, je n'en ai que faire... Vous ne voulez pas comprendre... Justice et Croyance en L'empereur Dieu sont totalement indissociable. Qui instruit la population? la police? Non, l'Ecclesiarchie... Vous ne faites qu'achever notre travail, c'est pourquoi vous vous devez d'avoir le dernier mot. Mais donnez vous le moyens de l'avoir. Si vous n'avez rien à rajouter, mon fils...
Il se rapprocha et posa ses mains sur les épaules du prêtre, le cighalos se trouvant dangereusement prêt de son visage.
-J'aimerait vous faire un présent, afin que vous n'oubliez jamais cette précieuse rencontre qui aura transformer votre vie en enfer.
Maintenant le prêtre d'une main, il appuya fortement le cighalos contre la peau de son cou qui ne put retenir un cri de douleur. Un garde entra aussitôt dans la pièce, alerté. L’interrogateur lui ordonna d’un ton acerbe :
-Emmenez le en garde à vu et relâchez le demain matin. Mais avant ça tachez de lui faire passer une agréable soirée en notre compagnie.
Alors que les deux gardes emmenaient le prêtre, celui-ci lança d’un ton calme à son détracteur :
-Il est des douleurs plus profondes que la plaie que vous ouvrez.
Thaur souleva sa capuche, laissant son énorme cicatrice sur la joue s'exposer à la lumière
Vous ne savez rien de la douleur, et vous vous blessez plus que moi-même.
-C’est cela mon père, profitez bien de votre nuit parmi nous. Vous ne tarderez pas à y passer des séjours bien plus longs.
-Vous croyez détenir le pouvoir de faire souffrir... auriez-vous totalement renié les enseignements de l'Ecclesiarchie? Qu'est-ce que la douleur physique? Seule la foie compte! Grâce à elle, il n'est nulle souffrance, nulle douleur! Aujourd'hui, vous êtes au-dessus de moi. Demain sera un autre jour. Adieux!
La porte se referma et Thaur fut jeté dans une cellule où on lui prit tout ses effet, il ne lui fut laissé que ses sous vêtements. Cette dernière n’était pas chauffée et il y régnait un froid mordant. Les gardes lui enlevèrent le lit de camp, ne laissant que les toilettes en guise de meubles. Plus tard dans la nuit alors qu’il grelottait de froid, appuyé contre un mur de la cellule, toutes les lampes furent brusquement éteintes dans le couloir et il put entendre la porte de sa cellule s’ouvrir. Des ombres s’y faufilèrent et le passèrent à tabac à coup de poing et de pied, tapant au hasard dans l’obscurité. Une fois cela fini, alors que Thaur était recroquevillé en position fœtale sur le sol, un nouvel homme arrive, accompagné de bruit étrange, semblable à des grésillements. En levant la tête Thaur découvrit une sorte de bâton parcouru d’arc électrique, une matraque à décharge. La dernière chose dont il se rappela fut la douleur horrible qui parcouru son corps à chaque coup qu’on lui donna, jusqu'à ce qu’il sombre dans l’inconscience.
Le lendemain il fut réveillé par un seau d’eau qu’on lui lança au visage, le glaçant jusqu’au os. Il était courbaturé de partout, son corps meurtri par des hématomes d’une couleur violette malsaine et il avait une migraine qui ne semblait jamais vouloir s’arrêter. De plus chaque respiration lui attiré une vague de douleur, il devait avoir selon lui, plusieurs cotes cassés. Des agents le forcèrent à se lever et le traînèrent à l’extérieur alors que le jour artificiel commençait tout juste à poindre. Ses affaires lui furent toute resitués, ou plutôt jeté, son oreillette se brisant sur le goudron du parking. L’heure était bien choisi, aucuns témoins ne pouvait assisté à la scène.
-Exactement. Un témoin vous a vu en bas de l'immeuble au moment de l'explosion. Il vous a ensuite vu vous enfuir rapidement. De plus nous avons ce témoignage du tenancier qui dit vous avoir indiqué l'appartement de Mr Steinway juste avant le meurtre. Vous comprenez donc que vous êtes dans de sales draps...
Il souffla un nuage de fumée en attendant sa réaction.
- Dans de sales draps? Avez-vous des preuves, monsieur, de ma culpabilité?
-Vous êtes pour l'heure un suspect, et deux témoins nous poussent à croire que vous êtes impliqué dans l'affaire. La coïncidence est curieuse que vous vous retrouviez chez Mr Steinway juste avant sa mort. Je vous invite donc à m'expliquer votre version des faits en détails.
-Ce matin, je suis allé dans les quartiers Nord. Je cherchait M. Steinway, et pour le trouver, j'ai demandé au tenancier d'un bar, le "Old Billy" je crois, et je lui ai demandé où habitait m. Steinway. Il m'a dit qu'il devait sûrement être chez lui, car il passait certaines journées à son domicile pour développer ses clichés. Vous savez sûrement que Steinway était photographe.
Je me suis donc rendu chez M; Steinway, rue des miracles. J'ai eu un entretien avec lui, au sujet de certaines de ses photos qui m'intéressaient, et de l'évènement dramatique qui a eu lieu dans le quartier il y a peu... Vous savez combien les gens ont été touché par ce crime horrible, il faut que l'écllesiarchie soit à leur coté.
-Des photos vous dite ? En quoi cela regarde t'il un membre de l'Ecclesiarchie ?
-L'Art n'est pas une question d'Ecclesiarchie se me semble, d'autant plus que la photo est un des moyens les plus sur de transmettre la foie dans les quartiers les plus pauvres, étant donné le faible taux d'alphabétisation.
-Oubliez vos excuses d'Ecclésiaste, je vous demande quel lien avaient ces photos avec le meurtre ?
-Elles représentaient la scène du meurtre
-Et en quoi cela vous concernait ?
-La mort nous concerne tous, non?
Il sourit avant de lui lancer une bouffée de fumée acre au visage.
-Inutile de philosopher avec moi Mr Makluen...Je vous conseil fortement de me répondre franchement.
-Père Makluen je vous prie
L'interrogateur se leva, un sourire narquois sur le visage avant de se pencher et d’approcher sa bouche très près de son visage.
-Très bien, Père Makluen.
Il avait craché les mots en même temps qu’un nuage de fumée épais.
-Merci. Si vous avez réussit à remonter jusqu'à moi, vous savez aussi ce que je fais, non? Vous avez bien rencontré un évêque, non?
-En effet, je sais tout ce que vous faites. Et je trouve très étrange que l'Ecclesiarchie trempe autant dans cette affaire. Cela ne vous concerne pas.
-Par des sermons et le soutien au peuple, pas en faisant le travail dédié à la Police. Vous n'êtes en rien des professionnels, vous n'avez aucunes compétences en la matière.
-Est-ce tout ? Ou devrons-nous discourir longtemps sur la hiérarchie Impériale?
Il ricana, allumant un autre cighalos. Déclenchant aussitôt un soupir chez le prêtre.
-Vous êtes tous les même, grand orateur, vous croyez avoir toujours le dernier mot.
Et vous voulez que je vous dise ? Votre évêque à déjà fait pression sur nous pour que vous soyez relâché immédiatement.
Il se leva, se rapprochant de toi en contournant le bureau.
Mais tout ne sera pas toujours aussi simple, vous n'aurez pas toujours le dernier mot Makluen. Je n'aime pas que l'Ecclesiarchie s'occupe d'affaire judiciaire dans notre dos et je ne vous apprécie pas. Vous êtes faux et fourbes, et sachez que votre vie ne sera plus aussi simple à présent. Vous aller être relâcher certes, et profitez bien de votre joie car cela ne durera pas. Vous ne ferez pas un pas sans que l'un de mes hommes soit derrière vous. Et à la moindre erreur, vous serez à moi. J'aurez le dernier mot vous pouvez me croire.
Il se trouvait derrière le prêtre et le toisait avec mépris à présent.
- Vous voulez le dernier mot? Prenez-le, je n'en ai que faire... Vous ne voulez pas comprendre... Justice et Croyance en L'empereur Dieu sont totalement indissociable. Qui instruit la population? la police? Non, l'Ecclesiarchie... Vous ne faites qu'achever notre travail, c'est pourquoi vous vous devez d'avoir le dernier mot. Mais donnez vous le moyens de l'avoir. Si vous n'avez rien à rajouter, mon fils...
Il se rapprocha et posa ses mains sur les épaules du prêtre, le cighalos se trouvant dangereusement prêt de son visage.
-J'aimerait vous faire un présent, afin que vous n'oubliez jamais cette précieuse rencontre qui aura transformer votre vie en enfer.
Maintenant le prêtre d'une main, il appuya fortement le cighalos contre la peau de son cou qui ne put retenir un cri de douleur. Un garde entra aussitôt dans la pièce, alerté. L’interrogateur lui ordonna d’un ton acerbe :
-Emmenez le en garde à vu et relâchez le demain matin. Mais avant ça tachez de lui faire passer une agréable soirée en notre compagnie.
Alors que les deux gardes emmenaient le prêtre, celui-ci lança d’un ton calme à son détracteur :
-Il est des douleurs plus profondes que la plaie que vous ouvrez.
Thaur souleva sa capuche, laissant son énorme cicatrice sur la joue s'exposer à la lumière
Vous ne savez rien de la douleur, et vous vous blessez plus que moi-même.
-C’est cela mon père, profitez bien de votre nuit parmi nous. Vous ne tarderez pas à y passer des séjours bien plus longs.
-Vous croyez détenir le pouvoir de faire souffrir... auriez-vous totalement renié les enseignements de l'Ecclesiarchie? Qu'est-ce que la douleur physique? Seule la foie compte! Grâce à elle, il n'est nulle souffrance, nulle douleur! Aujourd'hui, vous êtes au-dessus de moi. Demain sera un autre jour. Adieux!
La porte se referma et Thaur fut jeté dans une cellule où on lui prit tout ses effet, il ne lui fut laissé que ses sous vêtements. Cette dernière n’était pas chauffée et il y régnait un froid mordant. Les gardes lui enlevèrent le lit de camp, ne laissant que les toilettes en guise de meubles. Plus tard dans la nuit alors qu’il grelottait de froid, appuyé contre un mur de la cellule, toutes les lampes furent brusquement éteintes dans le couloir et il put entendre la porte de sa cellule s’ouvrir. Des ombres s’y faufilèrent et le passèrent à tabac à coup de poing et de pied, tapant au hasard dans l’obscurité. Une fois cela fini, alors que Thaur était recroquevillé en position fœtale sur le sol, un nouvel homme arrive, accompagné de bruit étrange, semblable à des grésillements. En levant la tête Thaur découvrit une sorte de bâton parcouru d’arc électrique, une matraque à décharge. La dernière chose dont il se rappela fut la douleur horrible qui parcouru son corps à chaque coup qu’on lui donna, jusqu'à ce qu’il sombre dans l’inconscience.
Le lendemain il fut réveillé par un seau d’eau qu’on lui lança au visage, le glaçant jusqu’au os. Il était courbaturé de partout, son corps meurtri par des hématomes d’une couleur violette malsaine et il avait une migraine qui ne semblait jamais vouloir s’arrêter. De plus chaque respiration lui attiré une vague de douleur, il devait avoir selon lui, plusieurs cotes cassés. Des agents le forcèrent à se lever et le traînèrent à l’extérieur alors que le jour artificiel commençait tout juste à poindre. Ses affaires lui furent toute resitués, ou plutôt jeté, son oreillette se brisant sur le goudron du parking. L’heure était bien choisi, aucuns témoins ne pouvait assisté à la scène.
Re: Arrestation de Thaur
Thaur réunit ses affaires, et s'habilla. Il décida de retourner au dirthy jet.
Chaques pas était une soufrance, chaques mouvement lui arrachait un gémisssement. Les tramway étaient rares à cette heure, et Thaur rata le sien. Il essaya de courir pour le ratrapper, mais ne réussit qu'à s'éffondrer lamentablement sur le trotoir.
[suite au dirty jet]
Chaques pas était une soufrance, chaques mouvement lui arrachait un gémisssement. Les tramway étaient rares à cette heure, et Thaur rata le sien. Il essaya de courir pour le ratrapper, mais ne réussit qu'à s'éffondrer lamentablement sur le trotoir.
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