Re: Les rues du Quartier

[Sammaël]

Enshir parvint à le suivre malgré la foule de plus en plus importante grâce aux jurons que l'homme déclenchait en bousculant les gens. Habitué à la Ruche le jeune Arbites n'eu aucun mal à se faufiler à sa suite parmis le peuple. Il le vit qui rentrait dans une rame de tramway et s'engouffra à sa suite, tâchant de rester à porté de vu tout en gardant ses distances.
La brute boucula de plus belle les passagers lorsqu'il voulut sortir à l'arrêt des Quartiers Ouest, un jeune homme se rebiffa contre lui et lui jeta une injure au visage. Au lieu de continuer son chemin l'homme se retourna avec une vivacité dont on ne pouvait pas se douter au vu de sa carrure, le regard qu'il lui adressa de sous la capuche devait être effreyant car le jeune homme recula tout à coup et tomba au sol en pleurs, ses protégeant la tête de ses bras.
-"Par pitié me faites pas de mal !"
Les gens autour s'éparpillèrent rapidement, ne voulant pas être méller à l'affaire, cela dit la brute continua son chemin, apparemment il n'avait pas de temps à perdre en futilité. Il se dirigea à pas vif vers une grande rue qu'Enshir reconnut, si l'on continuait en ce sens, on pouvait aboutir au bar Hot Dance et à l'hôtel Flsk.

Soudain l'homme s'arrêtta net et sembla lever la tête en l'agitant quelque peu, à la manière d'un chien qui utilise son flair pour humer l'air. D'un bloc il se retourna et, prenant le novice de cours, fonça dans sa direction.
Enshir se raidit et se prépara à utiliser son arme mais l'homme lui passa à coté sans lui prêter la moindre attention pour ensuite se diriger vers la station de Levmag où l'un d'eux venait d'arriver en gare pour monter vers la Cité-Ruche.
Sa cible s'engouffra ensuite dans l'un des wagons.

[Azim]

Sans plus se soucier de discretion Enshir courut lui aussi en direction du levmag, il ne voulait pas perdre sa proie. S'il arrive à temps pour embarquer il prend par contre bien soin de monter dans une autre rame, où il ira se coller à la porte pour épier les sorties de la rame de son pote

HRP: Y'a pas de telephones dans les lev mag ?

[Sammaël]

[Hrp : Non aucun.]

Avec le monde qui emplissait le Lev mag il ne parvenait pas à voir ce que faisait la brute dans le wagon adjacent, cela dit il prit son mal en patience et attendit de le voir descendre. Une fois parvenu dans la Cité ruche, de nombreux arrêts passèrent sans qu'il ne le vit descendre, puis quand le train s'arrêtta en gâre pour le Centre de Commerce où la majorité des gens descendaient, il ne vit pas. Les portes commençait à se refermer quand soudain son attention fut attirée par un prête à l'allure très imposante, du moins il cru tout d'abord que c'en était un. La bure de couleur ocre sombre rappellait bel et bien un prêtre mais la stature de cet homme lui rappellait par trop celle de sa cible, il avait du passer ce déguisement par dessus lui afin de tromper le système de caméra de la Cité-Ruche.
Enshir eut juste le temps de passer son bras entre les portes pour qu'elles s'ouvrent à nouveau et il marcha vivement à sa suite tandis qu'il se dirigeait vers l'imposant Centre de Commerce.

[Azim]

Enshir suivit le "prêtre" esperant ne pas se tromper de cible, il desesperait de trouver un moyen pour prévenir sa superieure. ayant vu le bûcheron à l'oeuvre, il doutait de pouvoir l'apréhender seul. Néanmons disciple consciencieux il gardait l'oeil sur sa cible en attendant de trouver le moment opportun

[Sammaël]

[Hrp: Il va falloir patienter un peu avant de continuer, ton temps Rp rattrape trop celui du groupe. Je posterai la suite dans le forum de la Cité Ruche.]

[Mordren]

Mordren se mit à vaquer dans les rues, son chat à la main, espérant voir, peut-être une bonne affaire.

[HRP:Un jet de dé? Pour un évènement, croisé un des jeunes, une fête, une bagarre, une bonne affaire, un truc distrayant juste pour le plaisir du Rp en attendant le soir que mes gars reviennent]

[Thaur]

Mikhail chercha pendant assez longtemps ses chutes métalliques, puis il trouva un atelier où un artisant fabriquait toutes sortes d'objets, caisses, meubles et autres, à partir de plaque de métal. Il devait donc certainement avoir quelques chutes qui ne lui serait d'aucune utilité...

[Sammaël]

Il chercha l'artisan en question autour de son échoppe, et le trouva, un chalumeau en main, en train de donner forme à une grande tige de métal.
Ce dernier termina ce qu'il était en train de faire et finalement, enleva ses lunettes de protections noircie par la chaleur, afin de lever vers le jeune homme un sourcil interrogateur.
-"Bonjour... Excusez moi, vous n'auriez pas des petits restes de fil de fer fin, ou des chutes de plaque méttalique très fines ?"

[Thaur]

"Hein? Des fines tiges de métal.... Je gardes toujours mes chutes pour les refondre, comme ça rien ne se perd, peut-être que vous en trouverez ce qu'il vous dans les sceaux là-bas."

Mikhail se dirigea vers l'endroit indiqué par l'artisan, et trouva des sceaux remplis de chutes de toutes tailles, certaines très fines, d'autres plus grosses, en différents métaux. Il y trouverais sans aucun doute son bonheur.

[Sammaël]

Il se servit abondamment afin de pouvoir palier à de futures casse de crochets, puis revint vers l'artisan.
-"Je vous dois quelque chose Monsieur ?"

[Thaur]

L'artisan sourit aimablement:

"Non, prenez-les, je vous les donne! Vous avez pas besoin de meubles par hasard? Comme vous voyez, y'a pas beaucoup de clients par ici..."

[Ailoen]

Ailoen descendit du vieux tramway qui lui avait servit de transport, ainsi qu'à une foule importante de personnes. Il marcha quelques minutes parmi les rues fourmillant d'activité, la main sur son arme en cas d'agression. Le psyker chercha à repérer un étal de rations où de nombreuses personnes étaient déjà présentes afin qu'il passe inaperçu, avec bien sûr le gérant du magasin situé à l'intérieur de celui-ci.

[Sammaël]

Il remarqua un magasin de distribution de plutot bonne taille, foule de gens s'y massait à cette heure pour acheter les diverses rations qui y étaient proposées.
Sur de grand étals se trouvaient des variétés de rations impriales, tout ce qu'il y avait de plus commun, la majorité se résumant à un sac fait de deux compartiment. Un grand renfermant de la poudre alimentaire lyophilisée, et un autre plus petit qui contenait du liquide nutritif. Il suffit de tirer sur une cordelette pour que les deux produits puissent se mélanger, il suffisait alors d'agiter pour obtenir son repas. Un dispositif à friction chimique échauffait la nourriture en même temps que celle ci se mélangeait, la rendant tout juste chaude.
Plusieurs parfums était disponible, mais la base était la même, le parfum lui n'était qu'artificielle. Cela n'avait rien de très gouteux mais c'était pratique, résistant au temps et surtout, peu onéreux.

Le vendeur gardait un oeil sur ses étals, un peu trop étendu pour l'attention d'une seule personne, surtout lorsqu'il devait encaisser un client.

[Ailoen]

Ailoen repéra aisément le commerce grâce à l'importante foule de personnes piochant dans les étals, il chercha un vigile des yeux et découvrit un vendeur, un petit homme avec un tablier, ceignant son ventre proéminent... Il s'approcha d'un air détendu de l'étal situé à l'extrême limite du magasin, du côté éloigné du vendeur, il couvrit des yeux rapidement le flot de rations, le psyker garda en permanence un œil sur le vigile, attendant que celui-ci soit occupé par un client demandant des précisions, ou un paiement ne permettant plus au vendeur de le voir...Ailoen ouvrit son esprit au warp, attirant la chance, puis faucha rapidement plusieurs rations de manière discrète mais sure, s'arrêtant dès que le vendeur eut fini, en ayant l'air de chercher un parfum spécifique dans la foule des étals...

[Je lance un dé de pouvoir, je relance si le jet si le vendeur me grille ou si une autre personne me grille (préférence pour le vendeur)]

[Sammaël]

[Mj : Ailoen réussi son jet de concentration, il lance un dé de pouvoir et fait un 9, il subis un phénomène psychique : Décharge Psy.]

Alors qu'il fourrait une ration dans la poche de sa veste il sentit qu'il perdait le contrôle du flux de warp, il parvint cependant à en fermer ce dernier mais un petit excés d'énergie s'échappa. De l'électricité statique parcourut la foule sur trente mètre depuis Ailoen, leurs hérissant les cheveux au dessus de la tête. Il sentit au même moment son corps se soulever dans les airs d'environ quatre bon mètre avant qu'il ne retombe brusquement au sol, se réceptionnant tant bien que mal.
Il n'y avait plus aucun bruit dans la foule autour de lui, tous les regards étaient posés sur lui. La plupart complètement effrayés, d'autres affichant une haine indescriptible. En particulier le marchand lorsqu'il découvrit l'un des sac de rations qui avait glissé de sa veste alors qu'il s'était élevé dans les airs.

[Ailoen]

"Eh mince !"
Il fallait réagir rapidement, la foule le toisait opressemment, Ailoen lisait dans des yeux la crainte, la haine et même pour certains l'envie de tuer. Il se releva rapidement, puis voyant la foule compacte autour de lui, déduisit le seul moyen de fuir, par les airs...Dans une concentration glaciale, le psyker s'ouvrit au courant incertain du warp et, modifiant son corps, se fit pousser des ailes, couvertes de plumes, dans l'espoir de passer peut-être pour un ange aux yeux de certains...

[3 dés de pouvoirs]

[Sammaël]

[Mj: Le test de concentration est une réussite, les jets de puissance donne un total de 15, le pouvoir de Chance permet d'en relancer un, ce qui permet d'obtenir 20, le seuil est passé.]

Ailoen sentit les énergies du warp revenir à lui et s'appliqua à les faire parcourir son corps afin de remodeler ses cellules. Rapidement deux grande ailes couvertes de magnifique plumes lui poussèrent dans le dos, déchirant ses vêtements au passage. Les citoyens alentours reculèrent précipitament avec des cris d'horreur ou des exclamations tandis que le Psyker déployait ses ailes et commençait à s'élever dans les airs à environ cinq mètres du sol.

[Ailoen]

Ailoen, repoussant ses limites, battit des ailes avec force afin d'atteindre rapidement la hauteur du toit des immeubles, cela fait, il battit des ailes dans une direction fixe, rasant le haut des bâtiments afin de passer relativement innaperçu, volant toujours tout droit au dessus des immeubles du quartier marchand, avant de se poser sur le toit d'un gros ensemble d'immeubles se touchant, afin de se reposer après ce périple...Après quelques minutes de repos, il fit le tour du toit afin de repérer les différents moyens de descente qui s'offrait à lui...

[Sammaël]

Il n'y avait pas d'autres moyens de déscente que la trappe de toît, hélas vérouillée par une chaine et un cadenas. Les immeubles voisins n'étaient pas très loin, mais suffisament pour être inaccéssible ou rentre la manoeuvre périlleuse.

[Ailoen]

La trappe du toit étant vérouillée, Ailoen s'envola à nouveau discrètement, visant cette fois un paté d'immeubles séparées par de nombreuses ruelles, il atterrit au milieu des ruelles centrales, en vérifiant au préalable que personne ne stationnait là.

[Sammaël]

Une femme qui se trouvait à l'une des extrémité de la ruelle poussa un hurlement suraïgue avant de s'enfuir en courant, il n'y avait personne d'autres, pour le moment.

[Ailoen]

"J'espère que son cri n'attirera personne"
Ailoen fit disparaitre ses ailes, puis changea de ruelle, dans une ruelle vide à l'aspect délabré, il s'accroupit dans un coin et compta le nombre de rations qu'il avait récupéré...

[Sammaël]

Il en avait récupéré une vingtaine, les petites poches pouvant facilement s'attraper par paquet de quatre ou cinq, mais il se rendit compte qu'elles étaient quasiment toutes au même parfum, ce dernier n'ayant pas l'air très ragoutant du tout.

[Ailoen]

La prise était plutôt bonne, enfin, le parfum, lui, ne le paraissait pas vraiment, 20 rations, ils pourraient tenir environ 1 semaine avec 1 seul repas par jours, 3 si ils en prenaient deux...Ils faillaient continuer, il se mit à nouveau à la recherche du même type de magasin croisé récemment...En vérifiant la présence de vigile à l'intérieur du magasin

[Sammaël]

Il trouva non loin de là, dans une rue à peine plus grande que celle où il s'était posé, un magasin d'alimentation peu commun. On y vendait seulement des conserves, un moyen de conditionnement quelque peu archaïque mais qui parait il, avait fait ses preuves.
Une vieille femme discutait avec le marchand à l'intèrieur de la boutique, ce dernier étant tout aussi décrépit que son interlocutrice.
N'ayant sans doute pas toute la place nécéssaire dans sa petite échoppe, le vieil homme avait disposé des conserves en tas dans des corbeilles métallique à l'extèrieur.

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