Le Centre de Commerce.

[Sammaël]

Le trio déscendit du Levmag à un arrêt situé non loin du centre de commerce, tout autour ne se dréssaient que des blocs d'habitation pour les ouvriers. De l'autre coté de la voie de Levmag et de l'avenue se dréssait un immense complexe industriel qui s'étendait sur une grande distance, jusqu'à ce que l'on aperçoive le début d'une autre usine, sans doute suivie par d'autres encore.
Tous purent remarquer que la plupart des gens ici portaient l'uniforme de leurs lieux de travail ainsi qu'une mine lasse et totalement dépourvu d'émotion, les traits souvent tirés également. Si leur aspect était plus propre et soigneux que dans la Ruche Basse, les gens n'en étaient pas moins inquiétant d'un certain coté. Au moins un étage plus bas, bien que la misère soit assez présente, les gens arboraient leurs sentiments sur leurs visages, il ne semblait pas être robotisés.
Au détour du bloc d'habitation blanc et nu apparut le Centre de Commerce, haut de cinq bon étages à ce qu'il semblait. L'armature semblait être faite de métal et de verres principalement, plutôt élégant pour des habitués de la Ruche Basse, bien que l'architecture en soit assez simple et épurée. Celui ci était à dominante blanche, comme la majorité des bloc alentour, tout paraissait plutot blanc et propre à vrais dire dans cette partie de la Cité Ruche.

En se basant sur les informations numériques il s'approchèrent de l'entrée qui menait à la gallerie commerciale touchée par l'attentat. Cela dit ils se rendirent rapidement compte que des barrière en barrait l'accés et que quelques policiers se trouvait non loin, veillant à ce que personne ne s'approche de trop près. Le reste du Centre était en revanche ouvert, malgré le début de soirée, il devait l'être assez tard.

[Thaur]

Thaur réfléchit en inspectant les lieux. Aller voir les policiers directement n'était peut-être pas une bonne idée, l'évêque ne pourrait surement pas le couvrir ici, dans la cité ruche. Il valait mieux allez voir un commerçant et tenter de sympathiser avec lui.

Le prêtre se mit donc en quête d'une boutique à proximité de la partie du centre commercial qui était condamnée.

Il trouva au bout de quelques dizaines de minutes une échoppe à son gout: elle vendait des montres et des horloges. Alors que Thaur passait devant, toutes les horloges sonnèrent simultanément, précisément au même dixième de seconde. Une telle précision étonna fort le prêtre, qui entra dans la boutique.

Cette dernière avait les murs tapissés d'horloges de toutes sortes, et des montres étaient exposées dans des vitrines de verres parfaitement propres, sans la moindre trace de doigt. Thaur se sentit un peu perdu, il était habitué aux vieilles échoppes salles et poussiéreuses du quartier marchand de la ruche basse. Le vendeuse, une femme d'une trentaine d'année, aux cheveux noir, portant des lunettes discrètes, semblait irritée. elle écoutait attentivement les horloges posée dans un des coins de la boutique. elle en saisit enfin une avec un sourire triomphal, et il sembla à Thaur qu'elle réglait l'horloge, bien que lui-même ne vit aucune différence entre avant et après le changement.

La vendeuse, se retournant, sans doute pour retourner derrière le comptoir, vit le nouveau client qui venait d'entrer:


"-Oh! Bonjour Monseigneur! Excusez-moi, je ne vous avais pas vu...

-Ce n'est rien!

-Puis-je vous aider? Vous cherchez quelque chose de particulier?

-Non, non... Je passait dans la rue, quand j'ai entendue vos horloges sonner... Tant de précision, c'est vraiment admirable...

-Ah... La vendeuse pâlit un peu: vous n'avez pas trop entendu celle qui était décalée au moins?

-Oh non, pas le moins du monde! Vous devez avoir une oreille exceptionnelle pour entendre un si petit décalage...

-Je vis au milieu d'horloges depuis que je suis toute petite, j'entends le cliquetis de mes horloges jour et nuit... J'ai parfois même l'impression qu'elles sont vivante. Leur bruit me rassure.

-Ah... C'est vrai qu'en ce moment on a plus besoin d'être rassuré, avec tout ce qui se passe... Entre les entrepôts qui ont brûlés l'autre jour et cette prise d'otage... Heureusement que l'Empereur-Dieu veille sur nous!

-En effet, c'était tout proche d'ici. Je loue Dieu-l'Empereur chaque jour Monseigneur, avec encore plus de ferveur depuis qu'il a épargné ma boutique. Il y a eu de nombreux coup de feu...

-Si seulement tous les habitants de cette ruche était aussi fidèles que vous, jamais ce genre d'incidents n'arriverait... Chaque jour qui passe, je tente de rallier de nouvelles âmes à la cause de l'Empereur-Dieu, mais chaque jour, de nouvelles âmes sont perverties... Nous sommes en lutte constante contre le Mal....

-Je n'en doute pas une seconde. Mais quel bon vent vous amène ici mon père ?

- A vrai dire, j'ai été mandaté par Monseigneur l'Evêque de la Ruche Basse pour démanteler un dangereux groupuscule composé d'hérétiques... Et nous pensons qu'il serait peut-être lié à la prise d'otage qui a eu lieu ici... Le seul problème, c'est que les policiers sont trop orgueilleux pour aider l'Eglise, ils préfèrent tenter eux-même de résoudre l'enquête, quitte à se frotter de trop près à la perversion hérétique plutot que de se faire aider par L'Ecclesiarchie...

-Je comprend Monseigneur, vous êtes bien courageux de poursuivre une telle enquête, nous avons besoin de gens comme vous. Ce n'est certes pas la Police qui ira bien loin... Mais l'Adeptus Arbites commence à s'en méller à présent, cela me rassure, ils ne rigolent pas eux. Je puis vous aider en quelque chose ?

-Vous avez raison, L'Arbites est bien plus compétent que la police, et bien plus efficace, mais je reste persuadé qu'une coopération étroite entre Arbites et Ecclesiarchie reste essentielle. Vous pouvez en effet peut-être m'aider. Si vous me racontiez simplement la journée où a eu lieu la prise d'otage, je suis sûr que je pourrais en tirer des éléments intéressants...

-Il y a peu de chose à dire autre que ce que vous avez pu voir aux informations numériques à vrais dire... Il y eu cette alerte avec la Police et l'Arbites qui ont débarquer pour encercler le Centre, en particulier une certaine gallerie marchande.

-Appartement les négociations ont tourner court et ça s'est transformer en bain de sang, l'Arbites à lancer l'assaut dans la galerie. On a entendu de nombreux coup de feu, ainsi que le bruit des vitres de la galerie qui se brisaient.

-Après parait qu'un homme au capuchon rouge est sortit en se servant de ses partenaires comme bouclier humain mais vous savez, ce n'était pas tout à fait de ce coter. Appartement il sont passé par les sous sols menant au parking sous-terrain.

-Ahlala... Toutes ces histoires, ça ne doit pas être bon pour votre commerce. J'espère que la fréquentation n'a pas trop baissé?

-Non pas vraiment, et puis vous savez elle n'est jamais très importante. Le plus souvent ce sont des épouses de chefs d'usine ou des gens de la Ruche haute qui envoi leurs serviteurs dans mon magasin. Je suis assez renommée pour l'horlogerie.

Cette dernière phrase avait été dite non sans un once de fierté personnelle.

- En tout cas, la parfaite coordination de vos horloges est un gage de qualité auquel je serais prêt à faire confiance! Savez-vous quel magasin a été dévalisé, ou bien quel type de magasin on peut trouver dans la galerie qui a été condamnée?

-Rien qui ne sorte de l'ordinaire... à part peut être... Le seul qui me viendrait à l'esprit serait un antiquaire. Il n'a d'ailleurs que très peu de clientèle, il me semble qu'il appartient à un passionné à demi fou mais fortuné, ce qui explique que son magasin soit toujours en place.

-Un antiquaire? C'est original dans un endroit comme ici... Vous pensez qu'il était déja dans sa boutique quand a eu lieu la prise d'otage?

-Je ne saurais vous dire, je ne le connais pas. Je ne sais pas quelles sont ses heures d'ouvertures. Mais je sais que plusieurs magasin de la gallerie ont souffert de nombreux dommages.

-Vous avez eu de la chance... Merci infiniment pour toutes ces informations! Si j'ai un jour besoin d'une nouvelle montre, je saurais où aller!

[Thaur]

Thaur ressortit de la boutique et retrouva ses deux amis:

"Il y avait un antiquaire dans la galerie qui a été attaquée... Je ne serais que l'assassin n'y ai volé quelques objets hérétiques... Comme ce livre qu'avait l'herboriste ou ces bâtons étranges... Nous devrions peut-être nous renseigner sur cet antiquaire, non? Je peux me faire passer pour l'un de ses parents, mais pour cela, il me faudrait son nom, et je ne le sais pas, pas plus que la charmante demoiselle avec qui j'ai discuté... Je devrait peut-être interroger quelqu'un dans une autre boutique, ou peut-être devrions-nous essayer de trouver un bar que cet antiquaire aurait pu fréquenter. Que préférez-vous? Peut-être serait-il aussi judicieux d'essayer d'inspecter les souterrains par lesquels le bandit à fuit, peut-être a-t-il laissé des indices qui pourraient nous être utiles..."

[Fedias Panthera]

Fedias réfléchit quelques instants...
-Mh... Je pense qu'il serait intéressant de trouver l'antiquaire, afin de voir si on ne pourrait pas obtenir des informations sur les objets que les hérétiques ont volé, et donc qu'il pourrait encore utiliser contre nous ou autre. Mais avant cela vous avez raison, nous renseigner sur lui avant d'essayer de lui parler peut être pas mal. Je serais pour faire ça.

[Thaur]

Thaur acquiesça.

"Cherchons une autre boutique, si nous voyons un vendeur assez âgé, il y aura plus de chances qu'il connaisse l'antiquaire..."

Disant ceci, le prêtre s'éloigna et tenta de repérer une autre boutique correspondant aux critères qu'il avait établit un peu plus tôt.

[Sammaël]

Il tomba non loin de là sur un magasin qui vendait des meubles de style ancien, en bois pour la plupart, et joliement ornementée. Très loin de ce que l'on pouvait trouver dans le reste de la Ruche. Sans doute qu'ici, à proximité du Centre de Commerce, les artisan façonnant des objets de luxe s'étaient rassemblés. Peut être que la Ruche Haute n'abritait que des boutique de grand luxe, avec les dernière sorties, ce qui n'avait rien à voir avec ce type de luxe ancien, et malheuresement de plus en plus passé de mode.
Il s'agissait cette fois d'un homme, avec un long nez aquilin, surmonté de petite lunette en métal argenté posées juste sur le bout de son nez. Il avait une mine sérieuse mais qui s'ouvrit sur un sourire franc lorsque Thaur passa le pas de la porte.
-Ah ! Bien le bonjour Monseigneur, vous recherchez de beaux meubles pour le logis d'un de vos supèrieurs je suppose ?

[Thaur]

Thaur répondit de la façon la plus naturelle:

"-Votre intuition est bonne, Maître artisan! Monseigneur l'Evêque de la Ruche Basse désire acquérir du mobilier... Hélas, dans notre niveau, il est impossible de trouver des meubles dignes d'un aussi pieux serviteur de notre loué Saint-Empereur..."

[Sammaël]

[HRP : Je voulais le faire sur msn d'où le "retard", mais apparemment ce n'est pas possible.]

Le vendeur l'invita d'un élégant geste du bras à s'approcher d'une commode en bois finement ouvragée.
-Tenez par exemple cette magnifique commode Maximus Premier, avouez que le style de l'époque est rudement bien représenté ? On la croirait d'époque, même si vous n'en trouverez plus d'aussi ancienne, même en fouillant chez l'antiquaire le mieux fournit ! Qu'en dites vous ? Cela plairait-il à votre maître ?

[Thaur]

[HRP: je suis désolé, mais il est effectivement impossible de passer par msn depuis le PC duquel je vous écrit...]

Thaur répondit d'une voix amicale et un peu joueuse:

"-Pourtant, j'ai vu de bien jolis meubles chez l'antiquaire de la galerie 6... Quel est son nom déjà... Je ne m'en rappelle plus..."

[Sammaël]

-"Chez Oward ? Il faut avouer qu'il parvient parfois à dénicher de véritable trésors, mais il a aussi tout les fonds nécéssaire pour l'aider dans sa tâche. Cela dit à présent, il aura bien du mal à vous vendre quoi que ce soit... La plupart des gens ne l'apprécient pas et se réjouissent presque de ce qui lui est arrivé mais je dois avouer qu'il est en assez bon terme avec moi même, on s'échangeait nos astuces personnelles.
Enfin maintenant il se trouve entre la vie et la mort au service de réanimation, je ne pense pas qu'il s'en tirera. C'est quand même un monde qu'avec une caserne de l'Adeptus Arbites non loin, on ait pu laisser se faire massacrer un homme dans son magasin... Ce n'est pas très rassurant pour nous Monseigneur, j'ai bien peur que l'ambiance de la Ruche Basse ne parvienne jusqu'ici !"
L'homme avait une mine contrarié, bien qu'il ne devait en rien se douter que le meurtre était presque quotidien dans la Ruche Basse.

[Thaur]

"-Vous savez, je viens moi-même de la ruche basse... J'en préfère d'ailleurs l'ambiance, mais ce mot est tellement subjectif qu'en débattre n'apporterais rien, à aucun de nous deux... Par contre, ce qui est terrifiant, c'est la montée et le développement de certains courants hérétiques... Je suis convaincu que la personne qui a attaqué ce centre commercial est un hérétique, et j'essaie à vrai dire de le trouver... Les actes qu'il a commis méritent la plus grande punition, le Courroux de l'Empereur-Dieux ne tardera pas à se manifester!"

[Sammaël]

-"Je n'en doute pas, et je souhaite la réussite à votre difficile entreprise Monseigneur !"
L'homme en avait presque oublié la raison de la venue du Prêtre.

[Thaur]

"Heureusement que l'Empereur peut compter sur des sujets tels que vous... Comme je le faisait remarquer il y a peu de temps, si tous les habitant de cette ruche croyait avec la même ferveur que vous en notre Glorieux Empereur, jamais de telles ignominies ne pourraient avoir lieu! Je vais essayer de parler à Oward... Il a peut-être besoin de mon aide, après le choc qu'il a subit, et j'ai moi-même besoin de renseignements qu'il détient peut-être... Vous pouvez me redonner son prénom?"

[Sammaël]

-"Ah je suis désolé mon père mais non seulement Oward est en réanimation entre la vie et la mort, il ne peut donc pas parler à ce que je sâche. De plus quand j'ai voulu lui rendre visite, j'ai vu que deux policiers se trouvaient devant sa porte. Ils doivent attendre l'éventuelle amélioration de son état afin de l'intérroger. A mon avis, vous ne pourrez pas le voir de si tôt, et il y a plus de chance que vous le voyez mort que vivant..."

[Thaur]

Le prêtre prit une mine peinée.

"Je suis désolé... Je prierais pour son rétablissement... Vous avez peut-être une idée d'un objet dont il aurait fait l'acquisition récemment et qui aurait put attirer le monstrueux assassin? Avant que vous ne répondiez, vous devez savoir que mon unique but est de le trouver. Seul un objet portant sur lui des charges obscures et hérétiques aurait pu attirer le criminel. Si vous me dites la vérité, vous n'aurez rien à craindre. Je ne veux pas que l'Inquisition mette son nez dans la Ruche, je suis de ceux qui préfèrent donner une seconde chance. Oward a déjà été suffisamment punit, il n'est nul besoin de l'accabler plus encore, mais je doit absolument avoir ce qui a attiré l'assassin."

[Sammaël]

-"Mais je n'en ai pas la moindre idée Monseigneur, d'autant qu'il me parait impossible qu'Oward ait des objets de ce type dans sa boutique. Nous sommes ici dans la cité Ruche, de tels objets ne peuvent pas êtres plaçé en vu de tout le monde ! Et puis il n'aurait jamais touché à cela, à moins d'avoir été tromper par un de ses fournisseur, ce serait la seule hypothèse."

Non seulement l'homme n'avait pas l'air de mentir mais qui plus est il commençait par être apparemment géné par la présence de Thaur et ses allusions avec l'hérésie, sans doute que les gens ici étaient moins habitués à en parler aussi ouvertement.

[Thaur]

"Je n'ai jamais douté de la Foi d'Oward... Le seul moyen dont dispose l'hérésie pour tenter de nous atteindre, c'est la tromperie, comme vous le faites remarquer, la duperie, l'usurpation, et d'autres procédés semblable avec lesquels elle tente de nous cacher sa véritable nature. C'est pour cela que je vous ai dit que je préfère donner une seconde chance. Vous n'avez aucune idée d'objets qu'il aurait pu acquérir récemment? Livre, bâton sculpté, ou autre?"

[Sammaël]

-"Et bien de temps à autres il me parle d'une bonne affaire qu'il aurait faite, mais il en garde la plupart pour soi je pense. Je me souviens d'une histoire de vieil ouvrage qu'il avait eu pour une poignée de Gelt, une véritable affaire... Mais aprés il m'a affirmé s'en être débarassé assez rapidement, mais je ne saurais pas vous dire auprés de qui. Et puis il y a aussi cette formidable hache qu'il avait dans sa vitrine depuis des années, ce n'est qu'aprés tout une hache à deux main somme toute assez classique, mais elle est ancienne. Elle a été forgée par un artisan célèbre qui vivait autrefois dans un village isolé, ici sur Sephêris. Cette arme à pour particularité d'être compact, le manche et les lames sont rétractable. Elle peut donc être dissimulé facilement dans un manteau par exemple."

[Thaur]

"Bon, je vois... J'ai déja retrouvé le livre, quand à la hache... je suppose que l'on ne surnomme pas le criminel qui a attaqué le centre commercial "bucheron" pour rien... Il l'avait vendu, sa hache, ou ne l'avait pas encore fait? Si elle était encore dans sa vitrine, cela pourrait expliquer la venue de l'assassin..."

[Sammaël]

-"Je n'en ai aucune idée Monseigneur... Vous avez donc vu le livre ? Un belle couleur mauve, je m'en souviens parfaitement, un très bel ouvrage, les bords étaient même renforcé de fine barette d'or. Faites y attention, il parait fort ancien. En tout cas je vous souhaite bonne chance dans votre difficile entreprise !"

De ce que le prêtre se souvenait du livre trouvé dans les égoût, il avait la reliure noire et était sobre d'aspect.

[Thaur]

"Merci pour votre aide! Peut-être à bientôt!"

Le prêtre sortit de la boutique.

Le livre était le mauvais... Mais peut-être s'agissait-il d'un deuxième ouvrage maléfique? Il fallait absolument le retrouver! Le détruire!

[Sammaël]

[Mj : Test de vigilance pour tout le groupe... J'ai qu'une remarque à faire, heuresement que Fedias est la.]

Alors que le groupe sortait de la boutique, Fedias aperçut à l'embrenchement d'une rue voisine une grande silhouette revêtant un capuchon rouge foncé qui semblait regarder dans leur direction. Quand il surprit le regard de Fedias il disparut dans la rue où il se trouvait. Les autres n'avaient absolument rien vu.

[Fedias Panthera]

"J'y crois pas..."
-Il est là !
Fedias commença à foncer en direction de l'homme encapuchonné le plus vite que sa jambe voulait bien lui permettre, slalomant entre les passants ou les bousculant légèrement mais sans douceur si cela s'avérait impossible. Il serrait les dents et tentait d'ignorer la douleur qui commençait à le prendre, priant l'Empereur pour parvenir à rattraper sa cible malgré tout... Il savait qu'il risquait peut être de le regretter par la suite, mais ce n'était pas comme si il avait le choix !

[Thaur]

Thaur réfléchit un instant, prit au dépourvu, puis, voyant Fedias courir vers la rue voisine aussi vite qu'il le pouvait, il sortit son épée de son fourreau et couru dans la même direction que son ami.

[Sammaël]

[Hrp: Comme c'est meugnon, il l'a qualifié d'ami ! Bon sinon qu'est-ce qu'il fiche Ailoen, il passe plus sur le forum... Moi j'ai pas de temps à perdre, je veux qu'à la rentrée on ai commencé la nouvelle éllipse.]

Le psyker se préssa à la suite de Thaur, se préparant à faire usage de ses pouvoirs si nécéssaire.
Les deux hommes avaient un peu de mal à se faufiler parmis les gens, eux qui n'avaient pas toujours vécus dans une Ruche. Cela dit la foule n'était pas très grande, et une fois arrivé dans la rue, ils se rendirent compte que celle ci était peut fréquentée. Fedias passait au milieux des gens avec aisance, cela dit sa jambe l'élançait douloureusement et il n'avait qu'une dizaine de mètre d'avance sur Thaur et Ailoen.
Il arriva cependant juste à temps pour voir la silhouette disparaitre dans une nouvelle rue transversale, bien plus étroite.

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