Boutiques diverses et Herboristerie

[Thaur]

Le quartier commerçant est situé dans l’ouest de la ruche et est un des plus complet en matière d’alimentation. En effet, ce quartier s’est spécialisé dans la vente de nourriture il y a plusieurs millénaires, rendant le commerce d’aliments une tradition qui perdure et se transmet de père en fils. Les magasins sont de petites échoppes, souvent insalubre, dasn lequelles on trouve une extraordinaire diversité d'aliments, en allant des levures hydroponiques provenat de diverses usines à divers aliments à la consistance étrange, au goût incertain et à l’apparence rebutante provenant de mondes impériaux reculés et inconnus.

[Thaur]

Thaur arriva au beau milieu de tous ces magasins à l’heure de manger, et avait une faim de loup. Il regarda les différents commerces qui s’offraient à ses yeux, Il y avait un magasin vendant des levures, un autre des aliments déshydratés, le troisième semblait vendre des sortes d’animaux grillés, et le dernier vendait des soupes de toutes les couleurs. Le choix était dur. Thaur était habitué aux levures et aux aliments déshydratés, et choisit donc, pour changer de ses habitudes, d’entrer dans la boutique vendant des animaux grillés.

« bonjour, je voudrais me restaurer, qu’avez-vous comme viande ?
- ben... j’a des lézards et des rats s’voulez » répondit le vendeur, étonné de voir un prêtre rentrer dans son échoppe.
« - je prendrais volontiers un lezard grillé, s’il vous plait. »
Le serveur lui choisit un gros lézard sur la grille et lui tendit efin qu’il le prit, tout en l’ayant auparavant enroulé dans une espèce de papier imperméable à la sauce qui coulait lentement du lézard grillé.
« ça vous’fra 3 trône m’sieur l’curé »
« Tenez, voici votre argent, dit Thaur en tendant les trois pièces au marchant, est-ce que je peux m’assoir à une de vos tables ? »

[Je te laisse intervenir Sammaël, je sais pas si il va se passer autre chose… et puis, désolé de te faire parler que des perso qui massacre le français… la prochaine fois, je vais voir un avocat ou un notaire

PS: je débite 3 trones de mon fric... vivement la fin du mois ^^
PS Bis: j'ai pas trop empiété sur ton rôle sammaël? le pris m'a semblé raisonnable et j'avais très envie d'un lezard... ]

[Sammaël]

[Non tu n'empiète pas du tout. Quand au 3 trônes bein on peut même dire que ton pj s'est fait roulé, ou qu'il ne plaint pas son argent. m'enfin on va pas faire des dixième de trone etc pour les trucs qui ne coutent quasiment rien. Alors soit vous vous faite roulé comme la, soit vous ne payez pas du tout, je ne vous engueulerais pas ]

[Mode Pnj]

Le vendeur essuya ses mains pleine de gras sur son pentalon avant de reprendre la cuisson de ses reptiles. Il indiqua avec la tête une table bancale muni de deux chaises antique à l'ecclesiaste.
-Pouvez posé vot' derrière la d'sus si vous v'lez.
Son oeil droit partait de temps à autre dans la direction opposé au gauche et il reniflait bruyamment toutes les dizaines de seconde. Le temps passa, sans qu'un autre son que celui provenant de la grillade et du voisinnage ne se fasse entendre.

[Mode Pnj terminé]

[Thaur]

Après avoir mangé son lézard, Thaur décida de repartir. Les rues étaient devenues plus calmes, les habitants du quartier, s'ils n'étaient pas en train de manger, devient se reposer avant de reprendre le travail. Thaur se décida de chercher une boutique qui pourrait intéresser le gang de la Rose Noire, et de questionner son propriétaire.
Il erra une vingtaine de minutes dans les rues avant de trouver son bonheur. Il y avait devant lui une boutique qui vendait des aliments déshydratés, notamment des légumes et de la soupe synthétique en poudre. Ce magasin, tout en restant modeste, devait être suffisamment riche pour attirer la Rose Noire…

Thaur entra dedans.


[puisque le vendeur n'a pasz l'air intérréssent je vais voir ailleurs...
sauf objection...
je te laisse faire la personne qui est dans le magasin, si il y a quelque chose d'important...]

[Sammaël]

[Mode Mj]
Tu rentre dans l’échoppe garni d’aliments de toutes sortes, à l’aspect peut engageant mais tout du moins, nourrissant. Un homme d’une quarantaine d’année se lisse la moustache devant son comptoir, le regard vide. Le magasin l’est tout autant et tu est le seul client. Il se tourne vers toi et t’accueil aimablement.
[Mode PNJ]

Et bonjour, bienvenue dans ma modeste échoppe ! Je peut peut être vous aider ? Vous souhaiter des sloubaks en poudre ? Ou du mitchkuck liquide ?

-"Ah? qu'est-ce? je ne connais pas tous ces aliments, je vous l'avoue..."

-" C'est issu des Agripôles du dehors...vous savez, hors des ruches. C'est un peut étrange comme légumes mais bon...ca nourrie très bien, ils sont modifié génétiquement pour !"

-"Ah... je ne connaissait pas... vous en vendez beaucoup, parce que je n'en n'ai encore jamais entendu parler...

-« Ah bein oui, j'en vend pas mal... Vous savez c'est pas bien cher et puis, comme ca nourrie bien, ça dure longtemps et les gens ici, ils apprécient."

-"Le sloubaks est moins cher et un repas permet de tenir la journée, en revanche le mitchkuck est légèrement plus agréable au goût, mais moins nourrissant... Sinon le Kandax est le plus cher mais il est meilleur que les deux autres et aussi nourrissant que le sloubaks."

-« Hum... je vous prendrais volontiers un mitchkuck, je n'ai pas beaucoup d'appétit ces temps-là...

-"D'accord un pack de Mitchkuck liquide pour monsieur, il y a de quoi tenir une semaine si vous mangez normalement et si vous êtes seul."

-"Merci bien! Je suis toujours curieux de découvrir de nouveaux aliments... Votre commerce à d'ailleurs l'air de bien marcher, non?

-"Plutôt oui, mais je vous l'ai déjà dit vous savez.."

-"Je suis très curieux comme je vous l'ai dit, et cet qualité s'accorde très bien avec mes activités... Et je pense que vous pouvez m'aider, à ce propos"

-"Vous aider ? Mais à quoi donc ? Vous savez je ne suis qu'un simple vendeur de légumes..."

-"Justement, vous auriez été notaire dans la ruche haute que vous ne m'auriez été d'aucune utilitée... c'est votre échoppe, votre petit commerce propre et assez lucratif qui m'intéresse. Vous voyez déjà où je veux en venir?"

-"Absolument pas...Si vous voulez le racheter ca m'intéresse pas. »

-"Non, ce n'est pas de cela que je veux parler... je ne suis en aucun cas un commerçant, je suis prêtre du tout puissant Empereur Dieu... Et mon maître a eu vent d'étranges rumeurs courrant dans ce quartier, et je veux savoir si elles sont fondées. On m'a déjà parlé de la Rose Noire, vous connaissez peut-être ce groupe? On me l'a décrit comme un groupe de braves gens empruntant excessif des riches pour le redistribuer aux pauvres. Un groupe aux objectifs louables et des hommes d'honneurs je pense. Mais il semblerais que depuis quelque temps, leurs raison commence à être altérée, ou du moins, la conception de leur tache se soit transformer... il ne profiterais de leurs gains que pour s'enrichir au lieu de redistribuer...Je veux les aider, et ce que j'entend aux informations me fait peur. Autant pour vous, pour moi que pour eux".

Avant que le prêtre ne finisse sa phrase, il se retrouva jeté dehors et se vis claquer la porte au nez. Porte que le vendeur verrouilla aussitôt avant d’abaisser les stores. On peut entendre de l’autre coté de la porte :

-"Je ne veut pas de truands chez moi, sortez, sortez ! Et n'y revenez pas !

[Mode PNJ terminé]

[Mod Mj terminé]

[Thaur]

Thaur Makluen n’eu pas le temps d’ouvrir la bouche pour protester que déjà le rideau de fer de la boutique s’abattait à coté de lui dans un grand fracas. Il n’avait pas été assez habile et avait surement trop brusqué le tenancier.

Thaur se dit qu’il ne lui restait plus qu’à trouver un autre magasin. Il s’en alla donc ; marchant au grès de ses pas dans les rues étroites et humides, encadrées d’immeubles sales, gras et crasseux. La chaleur due aux échappements des circuits de climatisation des niveaux supérieurs encombraient l’air de poussières et rendaient l’air suffocant pour une personne n’ayant pas vécu dans ce niveau une partie de sa vie, mais Thau y était né, et était par conséquent habitué à cet atmosphère lourde. Par endroits, des fuites d’égouts déversaient quelques litres d’une eau poisseuse et vaseuse, opaque et pleine de petits insectes et dégageant une odeur pestilentielle.

Il n’avait strictement aucune idée de l’échoppe dans laquelle rentrer, et commençait à déséspérer, croyant qu’il avait laissé passé sa seule chance, lorsqu’il vit, encastré entre deux immeubles noirs de pollution, une petite boutique vendant de nombreuses sortes de liquides, bariolés, de différentes consistance et textures. Certaines semblaient visqueuses comme les poutres de l’entrepôt qui avait explosé et qu’il avait vu sur un écran d’information et qui ne voulaient pas refroidir, tandis que d’autres paraissaient plus fluides que l’eau, à tel point que le moindre frémissement provoquait un raz de marée.
La boutique était certes plus petite –et plus modeste− que la précédente, mais ferait surement l’affaire. Les différents liquides étaient entreposés dans des étagères vermoulues, sur lesquelles reposaient des bouteilles de toutes les formes possibles et imaginables, certaines fines er presque plates, d’autres très hautes ou encore certaines sphériques. Des bacs remplis de liquides étaient posés à même le sol ou dans des meubles vacillants. Dans un coin, il y avait une espèce de bouteille en terre cuite, sans émail, et qui ne tenait pas debout à cause de son fond pointu. Elle rappelât vaguement à Thaur des souvenirs de ses cours d’antéohistoriques de terra. Certaines boissons étaient conservées en ébullition tandis que d’autres étaient dans des vitrines réfrigérantes. La boutique était assez inégalement éclairée, le devant recevait beaucoup de lumière, grâce à la vitre, tandis que le fond de la boutique était plongé dans une douce pénombre. Thaur s’avança vers le fond de la boutique. Le vendeur était assis et somnolait légèrement derrière un comptoir bardé d’alambic et de verres séchant sur un égouttoir électronique de mauvaise facture qui ronronnait légèrement.

Thaur engagea la discussion.

[Sammaël]

[Mode Mj]

[Mode PNJ]

-Hum... Bonjour!
Le vendeur fut prit d'un sursaut et dégringola de sa chaise. Deux mains apparurent sur le comptoir, puis une tête et finalement le vendeur reparut, un brin inquiet.

- Vous...vous êtes qui ?
Il remis ses lunettes pour mieux te voir.

-Bonjour! Je suis Thaur Makluen, Ecclesiaste à L'église du Saint-Empereur... je me promenais dans les rues, lorsque j'ai aperçut votre boutique, qui m'a attiré l'oeil... Que vendez-vous? Je n'ai jamais vu de telles boissons nul part...

-L'eglise du Saint-Empereur ? Ca me dit rien..bref... Ce ne sont pas de simple boissons au nom de l'empereur, je suis herboriste et voici mes potions !

-Voilà un talent que l'on rencontre peu par ici... herboriste... quelles sont les vertues de vos potions?

-Non, non, vous avez mal compris, je voulait juste savoir à quoi servent vos potions...

-Ah... J'ai du mal avec certains mots parfois, je crois entendre certaines choses enfin... Mes potions peuvent servir à tout, aphrodisiaque, rhume des foins, douleurs articulaires...

-Intéressant... vous avez dit entendre des choses?

-Oh oui c'est rien vous savez...quelqu’un me dit un mot et moi je crois en comprendre un autre, la sénilité qui se fait plus présente je suppose.

-Cela fait longtemps que vous vivez ici? L’air est parfois malsain et ramolli la tête quand on n'y est pas habitué...

-Oh oui...très longtemps, j'ai l'habitude vous savez...

-Je trouve ce quartier très agréable... une telle diversité d'aliment dans un seul quartier...c'est rare et très intéressant... Malgré cela je ne voit que la façade de ce quartier, et j'entend parfois mes fidèles qui me rapportent des rumeurs... ce quartier est pourtant calme, non? Il n'y a jamais de problèmes, par ici?

-Des problèmes, ici... Non jamais, c'est tranquille et depuis longtemps. J'ai toujours aimé ce quartier, ses petites ruelles et boutiques aux produits si extraordinaire... Et puis vous savez...La Rose Noire veille sur nous tous, les pauvres.

-Ah oui, j'en ai vaguement entendu parler... souvent des pauvres gens, qui venaient me voir de temps à autres...J'ai déjà eu une conversation avec un barman, et il m'en a dit beaucoup de bien... ce sont des gens qui rééquilibrent les richesses, qui donnent une chance à ceux auxquels la vie n'a pas accordé d'intérêt, non?

-C'est tout à fait exact... Ce ne sont pas des voyous vous savez non non, ce sont de bonnes gens. Et ils ne font jamais de mal, ils vont juste dans les étages supérieur et dérobe de quoi nous améliorer un peut l'ordinaire.

-J'aime parfois à admirer l'habilité des voleurs... de vrai artistes, réussir à s'introduire n'importe où... un véritable art... encore plus beau d'ailleurs quand on le fait pour les autres... l'action devient plus belle encore quand l'esprit l'accompagne...

-C'est vrais, ces gens sont vraiment doués pour nous ramener autant de choses. J'espère qu'il ne leurs arrivera rien...avec toutes les fausses rumeurs qui courent sur eux...

-J’ai vu aux informations qu'ils étaient accusés d'avoir commis un vol... Mais il y avait des morts, et d'après ce que l'on sait, ces gens ne tuent pas, ce ne sont pas des criminels... ce ne sont sûrement pas eux qui ont commis ce vol...

-Vous n'avez pas vu ? Il s'agit d'un gang de la Sous-Ruche. La Rose noire n'aurait que faire de produits exotiques... D'autant que si ils s'étaient servis des armes volées, on aurait retrouvé la trace de ces armes sur leurs victimes...mais apparemment il n'y en a pas eu. Et je vous le répète, ils ne tuent personne, ils nous aide et font ça de manière certes...pas très honnête mais sans violence.

-J'ai mal suivit les informations, mais je me souvient maintenant avoir vu que l'on soupçonnerais effectivement un gang de la sous-ruche...Oui, il est vrai que les membres de la Rose Noire ne sont pas des hommes suivant au pied de la lettre la loi, mais tant qu'ils distribueront leurs gains aux pauvres, leur honneur ne pourras être mis en doutes, tout comme leur honnêteté. La Rose Noire vous a déjà à déjà aidé?

-Oui bien sur, vous savez je suis là depuis si longtemps que je connais un certains nombre de chose. Ils aident tous ceux dans le besoins vous savez, moi y compris.

-Votre commerce marche mal? Ou bien les charges sont trop importantes, peut-être...

-Un peut des deux, mais ils m'aidaient surtout au début, quand j'étais jeune et que je crevais la faim. Mais ils continuent toujours à m'améliorer un peut l'ordinaire.

-Ce groupe à l'air assez ancien, non? On dirait presque une sorte de tradition...

-C'était une tradition en effet, une tradition perdu. Puis reprises par un petit groupe de quatre jeunes, des malins qui ont voulu reprendre un flambeau abandonné depuis plus de 250 ans ! Enfin y parait...

-Comment cela? Le groupe a changé de main? Je l'ignorais... cela fait longtemps? Ou parlez-vous du groupe actuel?

-Non non...c'était une tradition depuis longtemps, et ça à été abandonné il y a environ 250 ans... Mais un groupe de jeune aurait repris ça il a une trentaine ou une quarantaine d'années. Et ce serait toujours les mêmes actuellement.

-D’accord... Mais ils ont apparemment gardé les mêmes valeurs que leurs prédécesseurs, c'est cela?

-Et bien apparemment oui c'est le principe...voler chez les riches pour redonner aux pauvres, et sans faire de grabuges. Tous les anciens ici connaissent cette histoire.

-C’est une belle tradition... il doivent aussi chercher à recruter, non? Enfin vous me direz, tous les enfants du quartier ne doivent rêver que d'eux...

-Ca je ne sais pas, je n'en ai pas entendu parler. Apparemment ils sont plutôt du genre sérieux et sont très discret, on ne leurs parle jamais directement, tout est indirect. Seul des rumeurs...des histoires circulent et me permettent de vous dire ça. Quand aux jeunes oui ils rêvent de faire comme eux mais apparemment, soit ils se font choper, soit ils usent de violence et alors là, c'est la Rose noire qui leurs tombe dessus.

-... Avec raison!

-Tout à fait.

-En fait, personne ne sait où ils se trouvent? C’est pour cela que la police patauge...

-Ah oui c'est impossible...ce sont de vrais pros. Ils sont partout et nulle part à la fois, ces ahuris de policiers ne peuvent pas les attraper. D'autant que la Rose Noire aide aussi les policiers dans le besoins, certains d'entre eux sont dans la misère aussi vous savez...

-La Rose Noire ne fait donc aucune distinction entre les métiers des gens... elle ne considère que leur pauvreté... je ne pensais pas que leur altruisme était aussi élevé...Ce sont vraiment des gens bien... J’espère qu'ils pourront continuer encore longtemps leurs activités... Bon, revenons à vos potions, nous avons beaucoup dérivé... Mais c'est si agréable de parler... une de mes principales occupations d'ailleurs, et c'est la plus instructive...

Une odeur très étrange se fit sentir alors qu'un alambic de couleurs verdâtre se met en ébullition avec force bruit.

-En parlant de potion, en voici une de prête... Je suis navrée mais je dois aller m'occuper de celle ci au plus tôt. Revenez quand vous voulez !

Prit au nez par l’odeur acre, l’ecclésiaste se dépêcha de sortir prendre un peut d’air « frais », tout en saluant le vendeur.


[Mode PNJ terminé]

[Mod Mj terminé]

[Thaur]

Après cette conversation très enrichissante sur la Rose Noire, Thaur décida de rentrer à l'hotel pour retrouver comme convennu Ailoen. L'air commencait à refroidir et Thaur avait toujours dans le nez l'odeur de la potion de l'herboriste.

[Ailoen]

""
Ailoen descendit du tramway, et prit la direction indiquée par Thaur, il arriva bientôt à destination. Ailoen vit alors la boutique de l'herboriste, encadrée par deux immeubles...Il entra dans l'échoppe afin d'interroger le vendeur. Ailoen poussa la porte:
-Bonjour, un ami m'a parlé de vous ! Il est passé il y a peu...
Ailoen, se rappelant que Thaur lui avait dit que l'herboriste entendait des voix, se concentra sur l'activité psychique alentour.
""
[Je demande un test de psyniscience]

[Sammaël]

[Mode Mj]
Test de psynisciense : Réussite critique.
En entrant, et avant de prendre la parole, en laissant ton esprit s’étendre sur la surface du magasin tu ne ressens pas vraiment de manifestations psychiques. C’est plutôt comme si il y avait de l’électricité dans l’air, quelque chose d’a peine perceptible mais pourtant présent. Parfois tu a comme l’impression de regarder un vieux film en noir et blanc, les couleurs s’affadissent et des parasites parcourent ta vision. Et puis, en te concentrant, tu sens quelque chose, tu ne peut pas dire de quoi il s’agit mais il y a quelque chose d’ancien, qui ne devrait pas être là, du moins pas à cet époque. Ce qui expliquerais les sortes de flash-back qui passent devant tes yeux. Tu sens cette présence du coté de l’arrière boutique mais tu n’a pas le temps de te concentrer outre, le marchand t’interrompt en prenant la parole.

[On fait la conversation sur MSN dés que possible et je la posterais.]

[Mod Mj terminé]

[Ailoen]

-Bonjour...un ami vous dite ? Il affiche une mine septique.
-Oui, il est passé il y a peu, il est habillé d'une bure, et porte un capuchon.
-Ah..oui je vois... comment s'appelle il déjà ?
-Il s'appelle Thaur Makluen, il est Ecclesiaste à L'église du Saint-Empereur...
-Ah..oui je vois... Mais que voulez vous, je pense lui avoir dit suffisament de chose ? Hum ?
-Il m'a parlé de vos talents d'herboristes, et de vos potions, j'aimerais en savoir d'avantage.
Ailoen essaye de localiser l'odeur acre dont a parlé Thaur, mais aucune odeur particulière autre que celle d'une herboristerie ne se font sentir.
L'herboriste se gratte le menton avant de répondre.
-Hum... Pourtant nous avons peu parlé de mes talents...Mais passons, que voulez vous savoir ? Hum ?
-Je ne sais pas, par exemple, qu'elle type de potion possédez vous ? Peut-être qu'une d'entres elles m'interressera ?Ou alors vendez vous autres choses que des potions ?J'adore les antiquités, si vous en avez n'hésitez pas ?
-Je l'ai déja dit à votre ami...Je fait toutes les potions possibles et imaginables. Peut être avez vous des problèmes d'impuissance et n'osez pas le dire ? Ca ne m'étonnerais pas vu votre tein glaireux...hum.... J'ai ce qu'il vous faut si c'est le cas. Quand aux vieilleries, à par moi et mes potions, non j'en vois pas d'autres...
-Non, je n'ai aucun problème, je vais très bien...J'aimerais voir votre stock, pour voir si vous avez des médicaments,puis-je regarder votre arrière boutique ?
Le vieil homme devient sombre.
-Vous plaisantez ? Vous connaissez beaucoup de magasins où on vous laisse aller dans l'arrière boutique vous ?
-Escusez moi, je ne voulais pas vous offenser, en fait, je suis voyant, et je sens des ondes négatives émanant de votre arrière boutique...Voila se qui me tracasse
Une étincelle de curiosité éclaire l'oeil du vieil homme.
-Voyant vous dite ? Dite m'en plus...
-Que voulez vous savoir ?
-Vous vous dites voyant...mais ces derniers ne sont que des charlatans. D'autre ont de véritable don, seriez vous muni de cela ?
-Oui, je pense être muni d'un don, comparé au autres voyants, je pourrais peut etre vous aidé ?
Moi non pas vraiment... Mais je connais quelqun qui pourrait être intéresser. Si vous acceptez de le rencontrer je vous montrerez mon arrière boutique. Qu'en dite vous ?
-Je vous donne son adresse d'accord ?
L'herboriste griffone un morceau de papier et le tend à Ailoen.
-Voila, revenez me voir demain, une fois cela fait.
Le marchanf lui adresse un sourire.
-D'accord, je regarderai cela plus tard...Passons maintenant a votre part du marché...
-Seulement lorsque vous l'aurez vu...on ne me berne pas comme ca moi. Je suis vieux mais tout de même.
-D'accord, à demain surement !
Ailoen quitte la boutique, les rues étaient sales, plus qu'il ne l'aurai cru, l'air avait encore gagné en chaleur, il était étouffant. Ailoen emprunta le tramway, puis se rendit au bar...

[Sammaël]

Le tramway fit crisser ses freins à une des stations du quartier marchand, comme d’ordinaire l’endroit était bondé et ils en profitèrent pour se glisser dans la foule juste au moment où le véhicule allait repartir, espérant ainsi échapper à leurs éventuels fileurs. Cependant, aucun des deux n’étant accoutumé à la dense foule d’une telle cité ruche, lorsqu’ils parvinrent enfin à s’en extirper pour rejoindre la ruelle où se trouvait l’herboristerie, le mercenaire était déjà arrivé depuis un certain temps. Il les attendait non loin du commerce et leurs lança à leurs arrivé :
-C’est fermé apparemment.
En effet le magasin était fermé, des stores crasseux bouchant la vitrine et la porte vitrée. De plus on devinait que le mercenaire avait tenté d’actionner la poignée avant d’en arriver à cette conclusion.

[HRP MJ : Que faites vous ? N’hésitez pas à décrire vos gestes.]

[Ailoen]

""
-Attendez, je vais voir si il y a une autre porte que celle-ci pour entrer dans le bâtiment...dit Ailoen
Ailoen partit donc vers la ruelle à droite du bâtiment, qui fesait la liaison avec un vieil immeuble délabré, puis regarda éventuellement dans celle de gauche,...

[Sammaël]

Ailoen trouva plusieurs portes de part et d'autre dee l'immeuble en bas duquel se trouvait le magasin, il lui était néanmoins impossible de deviner si elle étaient relié a l'herboristerie ou non. De plus le batiment ne comportait aucun escalier de secour extèrieurs.

[Ailoen]

""
-J'ai trouvé quelques portes menant aux ruelles, je ne les ai pas ouverte, bon, on fait quoi ?demanda Ailoen
""

[Thaur]

"Bien... Nous avons deux options dans ce cas: nous pouvons essayer d'entrer chez l'herboriste pour voir si nous trouvons des indices, et nous devons essayer de savoir où il habite... qu'en pensez-vous?"

[Ailoen]

""
-Je pense qu'il vaut mieux entrer dans l'herboristerie, car il avait dit qu'il me montrerait quelque chose en rapport avec la sensation étrange que j'avais eu en pénétrant dans son magasin, donc nous devons essayer d'entrer...
""

[Thaur]

"Très bien... quelle porte essayons-nous? à moins que vous ne préfériez forcer la serrure de la porte de devant..."

[Fedias Panthera]

Fedias chercha un moyen de repérer un éventuel fileur. En réfléchissant, il arriva à la conclusion qu'ils étaitent restés trop longtemps devant cette boutique pour passer inaperçu, donc même si il arrivait à le semer, il pourrait comprendre facilement qu'il les retrouverait ici. Mécontenté par cette idée, il décida d'au moins agir au plus vite. Il mit son respirateur, choisit la porte sur le côté droit, se plaqua contre le mur, une main nonchalamment positionné proche de son pistolet laser, l'autre sur la poignée, puis actionna cette dernière.

[Thaur]

Thaur emboita le pas à Fedias. Il débloqua son épée et se teins prêt à la retirer de son fourreau. Il se colla au mur de l'autre côté de la porte à côté de laquelle se tenait Fedias.

[Sammaël]

La poignée résista sous sa main, de toute évidence la porte était fermé. Il était difficile de savoir où la porte menait, mais en se repérant par rapport au mur on pouvait penser que cela menait à l'immeuble situés au dessus du magasin. Peut être qu'à partir de celui ci il y avait un accés à l'herboristerie mais rien ne le prouvait. La porte était fait de bois renforcé de petite plaques de fer, il paraissait peut évident de l'enfoncer. Elle présentait une serrure assez classique et un interphone se trouvait sur le mur non loin de là, aucune des étiquettes n'était lisibles à coté des six boutons correspondants aux appartements.

[Fedias Panthera]

Fedias s'adressa à Thaur.
-Vous êtes vraiment sûr que l'herboriste est coupable, et que cela vaut le coup de mettre les moyen ?

[Thaur]

Thaur réfléchit un instant, puis il répondit d'une voix sûre:
"Il n'y a aucun doute... non seulement cette potion qu'il préparait, mais en plus, il a envoyé Ailoen chez une personne qiu devait le recruter... C'est là que tu nous a rejoint..."

[Fedias Panthera]

-Ok.
Fedias sortit son fusil de proximité, tira dans la serrure et envoya un coup de pied dans la porte.

[Sammaël]

Bien que peu discrète, la méthode du mercenaire se révella utile et la porte s'ouvrit à la volée. Ils découvrirent une cage d'escalier classique et mal éclairé. En entrant à droite se trouvait un escalier qui montait vers les étages supèrieurs, en face la pièce continuait en longueur, perçé d'une seule porte sur la droite, c'est à dire à l'opposé de là où se trouvait l'herboristerie. Sous le premier, se trouvait un autre escalier qui descendait en revanche et menait vraisemblablement vers un sous-sol.

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