Re: Boutiques diverses et Herboristerie

[Fedias Panthera]

-Dans ce genre de cas de figure, je penche pour le sous-sol. On y va ?

[Thaur]

"Moi aussi, on tomberas peut-être sur sa réserve, non? les appartements sont toujours dans le haut des immeuble... Les caves sont en bas, allons-y!"

Thaur, la main sur la garde de son épée, dévala les escaliers.

[Fedias Panthera]

Fedias lui emboîta le pas à la même vitesse.

[Sammaël]

Seule la lumière indiquant l'escalier en tant que sortie de secours éclairée l'étage infèrieur. Il était simillaire à celui d'au dessus, tout aussi étroit et encore plus crasseux. Le mur de droite, coté herboristerie, était perçé de trois portes. Les deux premières étaient ouvertes et dévoilèrent l'une, une sorte de petite salle avec des machines diverses, et l'autre un débarras remplie d'outils rouillés et de débris divers. La dernière était une porte solide, faite d'une grande plaque de tole méttalique, elle était visiblement fermée par deux verrous. Impossible de savoir si il s'en trouvaient d'autres derrière, qui ne soit pas déverouillable par devant.


[Hrp: Ca me fait sourire que vous vous retrouviez dans la même situation que le groupe de Naheulbeuk, avec même pas une seule lampe torche dans vos inventaires. Heureseument que je suis un Mj sympa, profitez en. ]

[Fedias Panthera]

"Pour la prochaine fois, penser à la lampe torche." Il sourit. "Si on sera encore en état de faire une prochaine fois..." Fedias se recentra sur la situation. Il n'aimait vraiment pas les portes qu'il ne pouvait pas ouvrir, mais il décida de s'en occuper plus tard.
-Vous prenez la première ?
Il s'approcha ensuite avec prudence et ouvrit en grand la porte de la salle des machine, et regarda avec attention l'intérieur.

[Sammaël]

La salle des machines ne présentait aucun intérêt, elle était remplie de petites pompes rouillé et de terminaux antiques. Au mur était accroché une carte représentant un secteur des égouts, hormis cela rien n'attira l'attention du mercenaire.
Dans l'autre salle ils découvrirent ce qui était en fait une sorte de vestiaire sordide, au mur était accroché quatre vestes d'inspecteur d'égout. Dans un placard métallique ils trouvèrent quatre lampes frontales dont les piles n'étaient pas toutes neuves mais encore suffisamment pleines pour les faire fonctionner. Il y avait un autre rangement grillagé, fermé par un cadenas qui renfermait toutes sorte d'outils, mais il était impossible de vraiment discerner ce qui s'y trouvait sans l'ouvrir. Le reste de la petite pièce étaient jonché de débris métallique divers.

[Fedias Panthera]

Fedias revînt dans la salle vestaire et prit 2 lampes torches, et lança les 2 autres à Thaur.
-Au cas où, je pense que ce serai mieux que vous mettiez une veste d'inspecteur.
Il prit ensuite son pistolet laser et tira sur le cadenas, puis regarda à l'intérieur des grillages.

[Sammaël]

Le cadena sauta facilement, dévoilant toute une panoplie d'outils. Des pieds de biche, des grosse pinces, des chalumeaux, des appareils à soudure et ce qui semblait être un découpeur à plasma.

[Fedias Panthera]

Le mercenaire prit un pied de biche et le rangea dans son sac à dos, dépassant.
-Vous pouvez me tenir ça pendant que je m'occupe de la porte ?
Il tendit à l'ecclésiaste son fusil, puis prit le soudeur à plasma, le prépara et s'attaqua grossièrement à la porte en regardant vers la gauche, l'oeil droit fermé.

[Sammaël]

Le flux de plasma aveuglant découpa le métal avec une facilité déconcertante, Fedias fit de son mieux pour manier le lourd objet et bientot il eut découpé une large déchirure dans la porte. Posant à terre le découpeur encombrant, il décocha un coup de pied dans la partie ainsi découpée, qui s'écrasa de l'autre coté. Devant eux se dévoila un sombre couloirs, ils n'y voyaient gouttes.

[Fedias Panthera]

Fedias prit une lampe torche, l'alluma, reprit son fusil des mains de Thaur en plaqua la lampe sur son arme, puis pointa le trou. Il laissa ensuite l'ecclésiaste passer devant puis s'engagea à sa suite.

[Thaur]

Thaur alluma sa lampe frontale et tira son épée. Il avança doucement dans le couloir, sur la pointe des pieds.

[Sammaël]

Le prêtre avanca en tachant de se rendre le plus discret possible, cependant il avait l'impression que ses pieds faisaient un bruit d'enfer sur le sol betonné, hormis le doux ronronnement des pompes, seul s'entendait leurs pas et le bruit de leurs respiration. Le couloir fut vide sur quelques mètres puis s'ouvrit devant eux un escalier, surmonté d'une trappe mettalique, apparament non verouillé, du moins pas de ce coté ci. Juste avant cette trappe s'ouvrait dans le mur de gauche une petite porte mettalique toute rouillé d'où provenait une odeur nauséabonde, un petit écriteau précisait : "Egout, zone dangereuse, seul personnel autorisé".

[Thaur]

Thaur mit en place son masque respiratoire, puis il s'approcha de la trappe, et essaya de la soulever délicatement, pour ne pas la faire grincer, ce qui parraissait de toute façon impossible au vu de la couleur de rouille des gonds.
Thaur passa ensuite délicatement sa tête pour inspecter la salle sur laquelle la trappe donnait.

[Sammaël]

Se présenta à lui une pièce sombre, simplement éclairé par la faible lumière de petit bec à gaz. C'était visiblement l'arrière boutique de l'herboristerie, à ce qu'il pouvait voir cela ressemblait à une salle de chimie, il y avait une large paillase centrale recouverte d'alambic, cornue, éprouvette et autres réfrigérant assemblés en un montage impréssionant. L'air était marqués de senteur chimique variés, parfois agréables ou au contraire nauséabondes. On entendait que le doux bruit de la combustion des bec à gaz et le glougloutement des solutions qui se trouvaient au dessus. Sur le coté gauche se trouvait des cages, remplie de petits animaux divers. Sur l'autre mur se trouvait un bureau, recouvert de papier froissés et jaunies par les vapeurs chimiques. Sur le reste de ce coté se trouvaient des affiches traitant d'alchimie ainsi qu' un plan des égouts, le reste était comblée par un immense placard remplie de bocaux et flacons dont une grande majorité affichait les étiquettes "nocif", "danger de morts", "corrosifs"...
Loin sur sa droite se trouvait une porte vitrée par laquelle filtrait un peut de lumière, elle devait conduire à la boutique. En face se trouvait une lorude porte coulissante actionnée par un interrupteur, elle comportait une petite vitre grillagé mais elle était si sombre qu'il était impossible de voir ce qu'il s'y trouvait.

[Hrp: Vous m'en voudrez pas j'ai un peut anticipé la description, et j'ajoute une joli carte pour facilité la compréhension.)

[Thaur]

Thaursortit de la trappe, et s'approcha doucement de l'armoire. Il regarda les flacons, et en prit portant la mention "corosif-métal" Celà pourrais toujours servir si d'autres serrures résistaient...
Thaur glissa le flacon dans son sac, puis il se dirigeat vers la porte qui menait à la boutique et vérifia qu'elle était bien fermée.
Il alla ensuite vers la porte grillagée et colla son oreille contre la porte afin de vérifier qu'ilk n'y avait personne avant de l'ouvrir.

[Fedias Panthera]

Fedias monta la trappe à la suite de l'ecclésiaste. Il posa son fusil sur la paillasse, le canon pointé directement vers la porte coulissante, puis chercha un flacon avec "danger de mort" dont la couleur vive du liquide était différente de ses stimulants, et en préleva une partie du contenu avec une seringue vide qu'il rangea ensuite. Il prit ensuite le plan des égouts, un flacon avec "Ne pas inhaler-Très toxique" enveloppé dans sa combinaison dans son sac et enfin son arme, attendant que le prêtre annonce ce qu'il y a derrière la porte coulissante en jetant un oeil sur la paperasse.

[Ailoen]

[Désolé j'ai été occupé tout le week-end]
""
Ailoen monta la trappe juste après Fedias. Il observa la pièce, puis se dirigea vers l'armoire où il prit une fiole nomée "Poison-Ne pas ingérer". Il se rapprocha ensuite du mileu de la pièce et analysa l'activité psychique aux alentours pour vérifier s'il ressentait la même chose que la première fois
""

[Sammaël]

Ailoen ne ressentit plu la présence psychique de la dernière fois, il y avait encore comme des traces présentent dans l'air, assez récentes apparemment. L'effet étrange qu'il avait perçu, les paillettes se superposant à sa vue, l'impression de voir le passé, tout cela n'était plus présent.
Thaur ne perçut rien au travers de la porte, celle ci tout comme la vite était plutôt épaisse et solide. Il appuya sur l'interrupteur et avec un crissement désagréable la porte coulissa. Une odeur de chair pourrie vint les saisir au nez, elle était véritablement insoutenable et si les respirateurs que le prêtre et le mercenaire portaient les aidèrent un peu, ils ne filtrèrent qu'a peine l'odeur désagréable. Au moins seraient il protégés si celle ci était le témoins d'un gaz nocif.
[Mode Mj]
Vous passez tous un test d'endurance assez simple pour résister à la nausée (produite uniquement par l'odeur), Thaur et Fedias bénéficie de +1 à leur jet. Il est raté par Thaur et Ailoen avec un degré plus important pour ce dernier.]
[Mode Mj]
Fedias garda la pleine mesure de ses moyens alors que Thaur faisait de son mieux pour retenir un haut le coeur, il avait légèrement verdit. Quand au psyker il ne put retenir un spasme et vomit sur le sol tant l'odeur était immonde.
C'est alors que de la petite salle monta un grognement suivi d'un jappement rageur, de la sombre pièce sortit un molosse, solide et monté sur des pattes puissante. Sa peau était verdâtre, purulentes et gâté par endroit, une de ses babines tombait même mollement en un morceau de chair sanguinolent. Il dévoila des crocs hideux et son regard de braise ne laissa en rien douter de ses intentions. Il s’appuya sur ses pattes arrière, prêt à bondir.

[Mode Mj]
Nous passons en mode tour par tour mes chers amis et voici l’ordre d’initiative :
-Fedias
-Le chien
-Thaur
-Ailoen
[Mode Mj]

[Fedias Panthera]

Fedias connaissait cette odeur : il avait senti une semblable lorsque tout son ancien groupe s'était fait massacré. Enragé, lorsque que Fedias vit la créature surgir de la porte coulissante, il faillit hésiter à prendre le risque de tirer d'où il était. Mais la raison avait le dessus : il était pour lui hors de question de faire une telle chose. Il chercha alors rapidement des yeux sur la paillasse une fiole d'acide contre l'organique pour la lancer en visant le flanc gauche du chien. Le cas échéant, il essaiera de courir vers la gauche de la paillasse et de tirer en direction de l'animal, de façon décalée vers la droite afin de minimiser les chances qu'un fragment touche l'ecclésiaste, puis de bondir sur la droite pour esquiver une éventuelle contre-attaque.

[Sammaël]

Se saisissant d’un flacon marqué des étiquettes « très corrosif » et « danger de mort », il le lança par-dessus les alambics et autres cornues alors que le chien était sur le point de bondir. Sa visée fut parfaite mais son jet maladroit, en tournant sur elle-même la fiole se brisa sur l’angle d’une cage proche du chien. De l’acide éclaboussa vers ce dernier qui parvint à s’écarter à temps avec une adresse surprenante, retroussant ses babines de nouveau il s’élança et sauta sur la paillasse, renversant sans y prêté attention la verreries d’alchimie. Cela eu pour effet de le ralentir quelque peut mais il serait dans quelques secondes en mesure de sauter à la gorge du mercenaire. Le prêtre quand à lui se remettait de sa nausée, il n’avait par chance pas été toucher par les éclaboussure d’acide. La cage en revanche commençait à se dissoudre sous son effet.

[Thaur]

Le prêtre, aussi affecté par l'odeur abominable et insupportable qui se dégageais de la cage que par la vision du terrible chien mutant, se força à se concentrer. Le chien ne semblait pas l'avoir apperçut, et il se jetait au contraire sur Fedias. Thaur courru derrière le chien et tenta de le frapper de son épée alors que ce dernier bondissait sur la paillasse, faisant éclater les verreries de l'Herboriste et laissant les potions se répandre sur le sol, créant d'étranges mélanges collorés et bouillonant par endroits.

[Sammaël]

[Mode Mj]
Thaur touche et blesse au torse, il n'inflige en revanche que 4 points de dégats.
[Mode Mj]

Le chien fut touché du bout de la lame, une estafilade sanglante mais verdatre se dessina sur son dos là où thaur l'avait touché. Il glapit sous le coup de la surprise puis se retourna vers Thaur, tout crocs dehors, il était si proche que le prêtre sentait son haleine de chair pourrie. Il ne tarderait pas à s'élancer sur le pauvre homme, changeant à nouveau de cible.

[Ailoen]

""
Ailoen vit Thaur blesser le chien, puis celui-ci bondir sur le prêtre...Il n'avait pas beaucoup de temps, et ne prenant pas le risque de tirer, il se concentra afin d'infliger de la douleur au chien, puis ce décale un peu pour ne pas géner la ligne de vue de Fedias...""

[Sammaël]

[Mode Mj]
Ailoen tente une infliction de douleur mais la rate, il force le sort à passer malgré tout et subis un péril du warp dont l'effet est assez léger : Il est privé de ses pouvoir durant une heure.
[Mode Mj]

L'atmosphère de la pièce se refroidit alors que le psyker se concentrait pour capter les vents du warp, ils étaient étrangement puissants en ce lieu et il avait du mal à les gérer. Le chien se mit à glapir et gémir alors qu'une douleur intense s'immisçait dans son esprit, néanmoins l'effet ne fut pas aussi efficace que prévu. Le psyker se prit soudainement la tête à demain, la bouche grande ouverte comme si il hurlait mais aucun son n'en sortaient, il sentait comme un point incandescent dans son esprit, c'était comme si on lui brûlait l'âme. Parvenant enfin à refermer son esprit il sentit comme une chape le recouvrir, il ne sentait plu ses pouvoirs, c'était comme si son esprit s'était replié sur lui même pour se libérer du warp, le privant pour un temps encore indéterminé de ses pouvoirs psychiques.
Le chien commençait à reprendre ses moyens mais gémissait toujours, il ne tarderait pas à s'en prendre au prêtre, à moins que le mercenaire ne parvienne à agir avant lui.

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