Le centre ville.
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Imperialis :: Jeu de Rôle :: Sephêris -Monde Ruche- :: Cité Ruche Archaos -Capitale- :: Sous-Ruche :: La Ville Désolée.
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Re: Le centre ville.
Fedias eu beau taper à la porte du prêtre, celui ci resta profondément endormit sans même se douter de ce qu'il se tramait. Ailoen en revanche n'eu d'autres choix de se réveiller en sursaut, la peur au ventre en croyant voir un intrus s'en prendre à lui. Il reconnut à temps le mercenaire, sans quoi il aurait bien pu le prendre pour cible avec l'un de ses sorts, malgré son esprit embrumé par la fatigue.
Les deux hommes restèrent un moment à contempler l'obscurité sans que rien ne se passe puis au loin résonna un tir cri strident qui fut coupé court par l'aboiement d'une arme à feu. De longues minutes passèrent dans le silence le plus total, c'est alors qu'Ailoen aperçut un silhouette qui remontait lentement la rue. De petite taille la personne avançait en tâchant visiblement de faire le moins de bruit possible, elle semblait également regarder sans arrêts dans toutes les directions et ses mouvement était parfois assez hésitant. Le jeune homme la distinguait plutôt bien avec ses lunettes, malgré la distance assez importante qui les séparait et la relative discrétion de l'intrus. Pour l'instant Fedias ne l'avait pas remarqué, sans doute regardait il de l'autre coté de la rue.
Les deux hommes restèrent un moment à contempler l'obscurité sans que rien ne se passe puis au loin résonna un tir cri strident qui fut coupé court par l'aboiement d'une arme à feu. De longues minutes passèrent dans le silence le plus total, c'est alors qu'Ailoen aperçut un silhouette qui remontait lentement la rue. De petite taille la personne avançait en tâchant visiblement de faire le moins de bruit possible, elle semblait également regarder sans arrêts dans toutes les directions et ses mouvement était parfois assez hésitant. Le jeune homme la distinguait plutôt bien avec ses lunettes, malgré la distance assez importante qui les séparait et la relative discrétion de l'intrus. Pour l'instant Fedias ne l'avait pas remarqué, sans doute regardait il de l'autre coté de la rue.
Re: Le centre ville.
Bon sang, comment avait-il pu s'endormir, ou plutôt se rendormir, dans un endroit aussi hostile ? L'homme que le psyker avait aperçu était peut-être un rescapé de la fusillade, ou alors simplement un étranger de la Ruche Basse. Cette dernière thèse était pour le moins improbable, il fallait en effet être bien naïf ou tout simplement stupide pour marcher seul dans l'obscurité, ainsi exposé à la vue du moindre gangsters effectuant sa patrouille habituelle. Ailoen ignorait si le prêtre avait été réveillé, mais normalement pour un homme seul, les deux compagnons ne devraient pas se faire trop de soucis.
Pour faire part de sa découvert au mercenaire, Ailoen lui tapota discrètement l'épaule puis lui indiqua tout aussi furtivement la position de l'homme en approche. Il murmura à l'oreille de son camarade :
- On l'intercepte ou on le laisse passer ? Cette homme a peut-être des informations qui pourrait nous être utiles
Pour faire part de sa découvert au mercenaire, Ailoen lui tapota discrètement l'épaule puis lui indiqua tout aussi furtivement la position de l'homme en approche. Il murmura à l'oreille de son camarade :
- On l'intercepte ou on le laisse passer ? Cette homme a peut-être des informations qui pourrait nous être utiles
Ailoen- Vétéran
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Re: Le centre ville.
Fedias avisa l'homme. Il dit le plus bas possible/
-Il se déplace de façon à ne pas se faire remarquer... A mon avis, soit il est poursuivit, soit c'est un nouveau ici et a été surpris par le coup de feu. Il vit le regard surpris du psyker. Oui, il y a eu un coup de feu pendant que vous dormiez. Dans tous les cas, je ne pense pas que le danger vienne de lui. Mais il y a bien un danger imminent. Je vais réveiller Monseigneur Makluen.
-Il se déplace de façon à ne pas se faire remarquer... A mon avis, soit il est poursuivit, soit c'est un nouveau ici et a été surpris par le coup de feu. Il vit le regard surpris du psyker. Oui, il y a eu un coup de feu pendant que vous dormiez. Dans tous les cas, je ne pense pas que le danger vienne de lui. Mais il y a bien un danger imminent. Je vais réveiller Monseigneur Makluen.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
[Mj : Je suppose que soit Ailoen peut répondre, soit Thaur en anticipant sur le fait que Fedias le réveille.]
Re: Le centre ville.
Thaur eu du mal à émerger de son sommeil, mais une fois qu'il fut débout, il se sentit assez frais et dispo. Il avait un peu froid, et enfila donc son manteau, et suivit aussi rapidement et silencieusement Fedias que possible. Ce dernier lui exposa brièvement la situation.
"Bien... Je propose de ne pas intervenir. Si nous tentons quelue chose, nous risquons fort de dévoiler notre position, ou tout du moins notre présence, et nous ne pouvons nous permettre de genre de chose, étant donné l'importance capitale de notre mission, et le danger qui pèse déja sur nous du fait de notre présence dans cet étage hostile de la Ruche. Laissons-le passer, et cachons-nous."
L'Ecclesiaste chuchotait juste assez fort pour se faire comprendre de ses camarades, n'osant pas parler plus fort au risque de se faire repérer par d'éventuels poursuivants de l'homme, ou bien par l'homme lui-même. Il était navré au fond de lui-même de sa propre attitude cynique et peu soucieuse de la vie de l'homme qui passait, mais était trop conscient de l'enjeux de sa mission pour se permettre la moindre faiblesse.
"Bien... Je propose de ne pas intervenir. Si nous tentons quelue chose, nous risquons fort de dévoiler notre position, ou tout du moins notre présence, et nous ne pouvons nous permettre de genre de chose, étant donné l'importance capitale de notre mission, et le danger qui pèse déja sur nous du fait de notre présence dans cet étage hostile de la Ruche. Laissons-le passer, et cachons-nous."
L'Ecclesiaste chuchotait juste assez fort pour se faire comprendre de ses camarades, n'osant pas parler plus fort au risque de se faire repérer par d'éventuels poursuivants de l'homme, ou bien par l'homme lui-même. Il était navré au fond de lui-même de sa propre attitude cynique et peu soucieuse de la vie de l'homme qui passait, mais était trop conscient de l'enjeux de sa mission pour se permettre la moindre faiblesse.
Thaur- Assistant MJ
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Re: Le centre ville.
Fedias ne prit pas longtemps pour réfléchir.
-Vous avez raison. Mais au vu du coup de feu, restons tout de même attentif à ce qu'il se passe.
Fedias ausculta les alentours avec les lunettes, en cherchant à rester à couvert.
-Vous avez raison. Mais au vu du coup de feu, restons tout de même attentif à ce qu'il se passe.
Fedias ausculta les alentours avec les lunettes, en cherchant à rester à couvert.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
La silhouette continuait sa lente progression, toujours aux aguets, se retournant parfois brusquement sans qu'aucun son n'ait été entendu. Désormais plus proche son identité se précisa, étant donné sa carrure et son apparence, cela avait tout l'air d'un homme, avec une bonne forme physique qui plus est. C'est alors que Fedias remarqua qu'il portait un fusil en main, il reconnut sans aucun doute possible un fusil laser tel qu'il y en a des centaines des milliards dans la galaxie. De plus l'inconnu avait tout l'air de porter une armure pare balle de la garde, Fedias pouvait même voir l'Aquila briller sur son plastron.
Soit l'homme était très bien déguisé, soit il s'agissait d'un Garde Imperial.
Soit l'homme était très bien déguisé, soit il s'agissait d'un Garde Imperial.
Re: Le centre ville.
-Un... Un Garde Impérial, ici ?
Le mercenaire avait fait en sorte que ses camarades l'entendent.
-Là, il y a quelque chose qui mérite qu'on s'y intéresse, vous ne pensez-pas ?
Le mercenaire avait fait en sorte que ses camarades l'entendent.
-Là, il y a quelque chose qui mérite qu'on s'y intéresse, vous ne pensez-pas ?
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
L'Ecclesiaste réfléchit un instant. Fallait-il mettre en danger leur survie uniquement pour aider un garde imperial? Certes, la présence de ce dernier ne pouvait être qu'étonnante, mais rien n'indiquait qu'il détennait des informations qui valaient la peine de le sortir de la mauvaise passe dans laquelle il semblait se trouver.
"Je n'ai pas d'avis sur la question. Si vous pensez que nous devons prendre ce risque, je vous suivrais."
"Je n'ai pas d'avis sur la question. Si vous pensez que nous devons prendre ce risque, je vous suivrais."
Thaur- Assistant MJ
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Re: Le centre ville.
Après la rapide discussion de ses camarades, Ailoen eut une idée sur la provenance du garde impérial:
- Des groupes de gardes impériaux patrouillent souvent dans la Sous-Ruche, peut être son escouade est-elle tombée dans une embuscade ? C'est sans doute le seul survivant qui ait réussit à s'échapper. Pour moi, il est peut probable qu'il ait des informations sur les livres que nous recherchons. Laissons le passer.
- Des groupes de gardes impériaux patrouillent souvent dans la Sous-Ruche, peut être son escouade est-elle tombée dans une embuscade ? C'est sans doute le seul survivant qui ait réussit à s'échapper. Pour moi, il est peut probable qu'il ait des informations sur les livres que nous recherchons. Laissons le passer.
Ailoen- Vétéran
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Re: Le centre ville.
Voyant la fausse neutralité du prêtre sur la question puis la position clairement définie du psyker, Fedias respecta la majorité.
-Très bien, laissons-le passer.
Il continua à observer les alentours.
-Très bien, laissons-le passer.
Il continua à observer les alentours.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
Le soldat continua sa progression lentement, alors qu'il se trouvait non loin de leur immeuble des tirs résonnèrent à proximité et tous virent le soldat s’empresser de rentrer dans un immeuble proche, visiblement pour s'y cacher. Bien qu'ils aient repéré où il se cachait, il ne l'avait plus en vu à présent, quand à l'immeuble il devait se trouver à environ trente mètre, sur le coté opposé de la rue.
Le garde avait vu juste en se dissimulant, à peine trente secondes plus tard les trois compagnons purent voir débouler dans la rue d'étranges personnes. Il y en avait quatre qui venait du coté par lequel était arrivé le soldat, vêtus de foulard et de tissus, on aurait dit des voyageurs du désert. En raison des lunette de vision nocturnes, il était impossible de déterminer de quelle couleur était leurs tissus, certainement était il assez foncé. Ils n'étaient pas particulièrement discrets, à vrai dire on aurait dit que cela leur importait peu. Cela dit ils avaient une manière de marcher étrange, parfois en sautillant à demi, parfois en exécutant un ou deux pas chassés ou même une petite pirouette, ce qui ne manqua pas d'étonnés ceux qui les observaient.
Ces hommes ricanaient doucement, poussait parfois de petit gloussement de plaisir, ils semblaient s'extasier à chasser ainsi un humain. Pire ils purent voir que tous étaient armés, deux arboraient un fouet à décharge, au vu des éclairs bleutée qu'il projetaient parfois. Un autre n'avait en revanche qu'une matraque, à décharge également, et enfin le dernier semblait tenir un automatique.
-"Ou est tuuuu ?"
-"Allons mon enfant, sort de ta cachette !"
-"Sort voyons, nous ne te ferons aucun mal... Enfin, pas trop !"
Tous semblaient se plaire à s'exprimer d'une voix haut perchée, caricaturale, on auraient dit des enfants jouant à cache cache, si ce n'est qu'ils ne semblaient vraiment pas plaisanter.
Le garde avait vu juste en se dissimulant, à peine trente secondes plus tard les trois compagnons purent voir débouler dans la rue d'étranges personnes. Il y en avait quatre qui venait du coté par lequel était arrivé le soldat, vêtus de foulard et de tissus, on aurait dit des voyageurs du désert. En raison des lunette de vision nocturnes, il était impossible de déterminer de quelle couleur était leurs tissus, certainement était il assez foncé. Ils n'étaient pas particulièrement discrets, à vrai dire on aurait dit que cela leur importait peu. Cela dit ils avaient une manière de marcher étrange, parfois en sautillant à demi, parfois en exécutant un ou deux pas chassés ou même une petite pirouette, ce qui ne manqua pas d'étonnés ceux qui les observaient.
Ces hommes ricanaient doucement, poussait parfois de petit gloussement de plaisir, ils semblaient s'extasier à chasser ainsi un humain. Pire ils purent voir que tous étaient armés, deux arboraient un fouet à décharge, au vu des éclairs bleutée qu'il projetaient parfois. Un autre n'avait en revanche qu'une matraque, à décharge également, et enfin le dernier semblait tenir un automatique.
-"Ou est tuuuu ?"
-"Allons mon enfant, sort de ta cachette !"
-"Sort voyons, nous ne te ferons aucun mal... Enfin, pas trop !"
Tous semblaient se plaire à s'exprimer d'une voix haut perchée, caricaturale, on auraient dit des enfants jouant à cache cache, si ce n'est qu'ils ne semblaient vraiment pas plaisanter.
Re: Le centre ville.
-C'est l'idée que je me faisais des adeptes du chaos avant... dit Fedias en chuchotant. Vous voyez où je veux en venir...
Il prépara son arme, dans la ferme intention de s'en servir, une balle à décharge pour commencer.
Il prépara son arme, dans la ferme intention de s'en servir, une balle à décharge pour commencer.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
"Vous avez raison. Faites feu quand vous serez prêt, si possible sur celui qui a un automatique, je descends en bas pour les accueillir."
L'Ecclesiaste partit par le couloir, essayant d'être silencieux et de se mouvoir doucement pour ne pas attirer l'oeil des hérétiques.
Il dégaina et alla se cacher dans la cuisine. Les hérétiques aliénés feraient du bruit en marchant sur les gravats, il n'aurait pas de mal à les localiser pour surgir et s'attaquer à eux. Seul celui qui avait un automatique, et celui qui avait une matraque poseraient problème, étant donné que les autres auraient bien du mal à se servir de leur fouet sans se blesser les uns les autres dans le couloir qui reliait l'avant de la boutique, la cuisine et l'escalier.
L'Ecclesiaste partit par le couloir, essayant d'être silencieux et de se mouvoir doucement pour ne pas attirer l'oeil des hérétiques.
Il dégaina et alla se cacher dans la cuisine. Les hérétiques aliénés feraient du bruit en marchant sur les gravats, il n'aurait pas de mal à les localiser pour surgir et s'attaquer à eux. Seul celui qui avait un automatique, et celui qui avait une matraque poseraient problème, étant donné que les autres auraient bien du mal à se servir de leur fouet sans se blesser les uns les autres dans le couloir qui reliait l'avant de la boutique, la cuisine et l'escalier.
Thaur- Assistant MJ
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Re: Le centre ville.
-Je vais tenter de neutraliser leur puissance de feu. Je suis sûr que le tireur ne s'attendra pas à sentir son arme s'enrailler sous ses mains.
Ailoen se concentra intensément pour capter le flot du Warp, pour ensuite le déverser dans l'arme adverse afin de provoquer un dysfonctionnement mécanique. En effet, il fallait obliger ces hommes soit à fuir, soit à s'approcher pour les cueillir plus facilement. Le psyker avait confiance en les capacités de Thaur à contenir ces criminels dans l'espace exigüe du rez-de-chaussée.
[HRP 1 dé pour le pouvoir ]
Ailoen se concentra intensément pour capter le flot du Warp, pour ensuite le déverser dans l'arme adverse afin de provoquer un dysfonctionnement mécanique. En effet, il fallait obliger ces hommes soit à fuir, soit à s'approcher pour les cueillir plus facilement. Le psyker avait confiance en les capacités de Thaur à contenir ces criminels dans l'espace exigüe du rez-de-chaussée.
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Ailoen- Vétéran
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Re: Le centre ville.
Fedias attendit le bon moment, visa le plus soigneusement possible une zone découverte de l'homme à la matraque à décharge, les lunettes sur les yeux et sans viseur laser, et tira. Immédiatement après le coup de feu, il se planqua : avec un peu de chance, la surprise les aurait empêché de voir d'où provenait le tir, ce qui lui laisserait du champ libre pour la prochaine action.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
Ailoen sentit le flot du warp s'engouffrer en lui comme jamais, il était très puissant mais étrangement, il en avait un contrôle parfait. La vague psychique fusa vers l'automatique et s'engouffra au creux de ses mécanismes, la mettant à coup sur hors service pour un petit moment. Toutefois la puissance qu'avait puisé Ailoen n'avait pas dit son dernier mot, elle ne demandait qu'à être employée à nouveau et le psyker la dirigea vers les armes voisine, faisant cesser immédiatement les crépitements des deux fouets à décharges, au grand damne de leurs porteurs.
Fedias fit parler la poudre de son fusil à pompe, expédiant une balle à décharge en direction de l'homme à l'automatique. Comble de malchance, en dépit de la surprise et de l'adresse du mercenaire, la balle manqua sa cible et s'enfonça dans le sol sans un bruit. Avec un peu de chance cela dit, les hommes voilés n'auraient pas vu d'où venait l'éclat du tir et croiraient que cela venait du Garde.
Difficile à dire maintenant que tous trois étaient à couvert, ils ne pouvaient plus voir ce qu'il se passait dans la rue.
Seul Thaur pu entendre des paroles échangées, malgré le fait qu'elles soient plus soufflées que dites à proprement parlé. Non pas que les hommes ne voulaient pas être entendus, il semblait que chacun avait une façon de parler assez singulière et que tous se réjouissaient de cette traque.
-"Un garrrde n'a pas d'arrrme à poudrrre.."
-"Non pour sssur... Cela nous fait de la dissstraction en plusss !"
-"Les autres arrivent, commençons à chercher hihi !"
Thaur entendit en premier un bruit de verre qui craque, quelqu’un venait de franchir la porte de la boutique, il se tint prêt contre le mur, attendant le bon moment. L'homme à l'automatique apparu dans l'encadrement de la porte, bientôt suivit de celui à la matraque. L’ecclésiaste attendit quelque peu puis, voyant que personne d'autres ne faisait mine de les rejoindre, il surgit de sa cachette et chargea l'homme à la matraque, le plus proche. Sa lame, emportée par l'élan de la charge et bénéficiant de l'effet de surprise, trancha net le bras droit de l'homme, lui emportant même un bout de son épaule. Le sang gicla aussitôt des multiples artères ayant été ainsi tranchées, faisant aussitôt tomber l'homme dans l'inconscience sur le sol, il n'avait plus que quelque seconde à vivre.
Son coéquipier essaya aussitôt de faire feu en direction du prêtre mais la culasse de l'arme se bloqua en arrière, elle s'était enraillée de manière inexplicable. Il fit mine de commencer à fuir, malheureusement pour lui il était trop tard, le prêtre le rattrapa dans la boutique en lui assénant un coup d'épée en travers du dos. L'homme au voile s'écroula en avant en poussant un cri affolé, il était très sérieusement blessé mais toujours vivant, son armure de cuir lui avait hélas évité de mourir rapidement. Incapable de bouger, la collone vertébrale très certainement sectionnée, il fit appel à la pitié de l'Ecclesiaste pour abréger ses souffrances.
Au dehors tous entendirent le claquement sec d'un fusil laser suivit d'un cri strident. Fedias releva la tête un instant et aperçu un homme voilé au sol en position foetale, il se tordait de douleur. Il aperçut le voile mauve de son collègue disparaître au détour de la rue la plus proche, ce dernier avait fui.
Quelque longues secondes de silence passèrent avant que le calme ne soit à nouveau rompu.
-"Alors ordure ? Qu'est-ce que ça fait de se retrouver à la place de la proie hein ? Prend ça saloperie !"
Tous purent entendre un bruit mat suivit d'un grognement de douleur qui se transforma par la suite en un ricanement sinistre.
-Maiiis tu es toujouuurs la prrroie mon mignon, la battue des Soul Eaters est en marche et jamais... non jamais elle ne s’arrête avant que tout le monde soit morrrrrt !
-"Tu va payer au centuple ce que toi et tes copains ont fait !"
S'ensuivit d'autre bruits qui étaient facilement identifiable comme un passage à tabac en bonne et due forme.
Fedias fit parler la poudre de son fusil à pompe, expédiant une balle à décharge en direction de l'homme à l'automatique. Comble de malchance, en dépit de la surprise et de l'adresse du mercenaire, la balle manqua sa cible et s'enfonça dans le sol sans un bruit. Avec un peu de chance cela dit, les hommes voilés n'auraient pas vu d'où venait l'éclat du tir et croiraient que cela venait du Garde.
Difficile à dire maintenant que tous trois étaient à couvert, ils ne pouvaient plus voir ce qu'il se passait dans la rue.
Seul Thaur pu entendre des paroles échangées, malgré le fait qu'elles soient plus soufflées que dites à proprement parlé. Non pas que les hommes ne voulaient pas être entendus, il semblait que chacun avait une façon de parler assez singulière et que tous se réjouissaient de cette traque.
-"Un garrrde n'a pas d'arrrme à poudrrre.."
-"Non pour sssur... Cela nous fait de la dissstraction en plusss !"
-"Les autres arrivent, commençons à chercher hihi !"
Thaur entendit en premier un bruit de verre qui craque, quelqu’un venait de franchir la porte de la boutique, il se tint prêt contre le mur, attendant le bon moment. L'homme à l'automatique apparu dans l'encadrement de la porte, bientôt suivit de celui à la matraque. L’ecclésiaste attendit quelque peu puis, voyant que personne d'autres ne faisait mine de les rejoindre, il surgit de sa cachette et chargea l'homme à la matraque, le plus proche. Sa lame, emportée par l'élan de la charge et bénéficiant de l'effet de surprise, trancha net le bras droit de l'homme, lui emportant même un bout de son épaule. Le sang gicla aussitôt des multiples artères ayant été ainsi tranchées, faisant aussitôt tomber l'homme dans l'inconscience sur le sol, il n'avait plus que quelque seconde à vivre.
Son coéquipier essaya aussitôt de faire feu en direction du prêtre mais la culasse de l'arme se bloqua en arrière, elle s'était enraillée de manière inexplicable. Il fit mine de commencer à fuir, malheureusement pour lui il était trop tard, le prêtre le rattrapa dans la boutique en lui assénant un coup d'épée en travers du dos. L'homme au voile s'écroula en avant en poussant un cri affolé, il était très sérieusement blessé mais toujours vivant, son armure de cuir lui avait hélas évité de mourir rapidement. Incapable de bouger, la collone vertébrale très certainement sectionnée, il fit appel à la pitié de l'Ecclesiaste pour abréger ses souffrances.
Au dehors tous entendirent le claquement sec d'un fusil laser suivit d'un cri strident. Fedias releva la tête un instant et aperçu un homme voilé au sol en position foetale, il se tordait de douleur. Il aperçut le voile mauve de son collègue disparaître au détour de la rue la plus proche, ce dernier avait fui.
Quelque longues secondes de silence passèrent avant que le calme ne soit à nouveau rompu.
-"Alors ordure ? Qu'est-ce que ça fait de se retrouver à la place de la proie hein ? Prend ça saloperie !"
Tous purent entendre un bruit mat suivit d'un grognement de douleur qui se transforma par la suite en un ricanement sinistre.
-Maiiis tu es toujouuurs la prrroie mon mignon, la battue des Soul Eaters est en marche et jamais... non jamais elle ne s’arrête avant que tout le monde soit morrrrrt !
-"Tu va payer au centuple ce que toi et tes copains ont fait !"
S'ensuivit d'autre bruits qui étaient facilement identifiable comme un passage à tabac en bonne et due forme.
Re: Le centre ville.
-Vous entendez ? Battue des "Soul Eaters"... Je ne sais pas ce que c'est, mais j'le sens pas vraiment...
Fedias s'approcha de l'origine des bruits, dans l'intention de parler au garde.
Fedias s'approcha de l'origine des bruits, dans l'intention de parler au garde.
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
Ce dernier se trouvait au beau milieu de la rue, à ses pieds gisait un cadavre désarticulé, il avait certainement continué à le passer à tabac bien après sa mort. Dans sa main se trouvait son fusil laser, cela il ne le tenait que d'une main et ne semblait pas très menaçant à ce sujet.
En voyant arriver le mercenaire et l’ecclésiaste qui le tallonait de près, il pointa vers eux un index tremblant encore de rage, et les apostropha avec une voix à la voix lasse et tendue, témoignant des heures d'horreurs qu'il venait de traverser.
-"N'approchez pas plus ! Qui me dit que vous n'allez pas me tuer moi aussi ? Bon sang mais vous êtes quels genre de types pour vous en être sortit aussi facilement ..."
En voyant arriver le mercenaire et l’ecclésiaste qui le tallonait de près, il pointa vers eux un index tremblant encore de rage, et les apostropha avec une voix à la voix lasse et tendue, témoignant des heures d'horreurs qu'il venait de traverser.
-"N'approchez pas plus ! Qui me dit que vous n'allez pas me tuer moi aussi ? Bon sang mais vous êtes quels genre de types pour vous en être sortit aussi facilement ..."
Re: Le centre ville.
Fedias sourit. Il est vrai que le carnage de l'ecclésiaste était impressionnant... Il répondit d'une voix neutre.
-C'est notre boulot... On a un peu d'expérience dans le domaine d'élimination d'hérétiques. Je vous présente Monseigneur Makluen, et je suis Fedias Panthera, mercenaire au service de l'Eglise. Que faites-vous par ici ?
-C'est notre boulot... On a un peu d'expérience dans le domaine d'élimination d'hérétiques. Je vous présente Monseigneur Makluen, et je suis Fedias Panthera, mercenaire au service de l'Eglise. Que faites-vous par ici ?
Fedias Panthera- Vétéran
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(11/11)
Re: Le centre ville.
-"Des hérétiques ? Vous parlez bien vite... Vous avez pas du passer beaucoup de vacances ici pas vrai ? Dites vous qu'ici rien n'est comme en haut. C'est pas par ce qu'ils ont un comportement dérangeant qu'ils sont aussitôt hérétiques, sinon tous les gens qui "vivent" ici, si je puis dire, ne seraient que des hérétiques ! Et nous serions dans de beaux draps..."
Le garde donna un petit coup de pied dans le cadavre pour le retourner, dévoilant un insigne de gang tatoué sur la nuque du ganger : une énorme bouche grand ouverte donnant sur un genre maelström, comme si elle aspirait la matière environnante.
-"Les Soul Eaters... Un petit gang qui semble avoir rejoint la cour des grands, nous avons pour habitude à la garde de faire des missions de temps à autres pour neutraliser les membres importants de ce genre de gangs, juste avant qu'ils ne prennent vraiment de l'ampleur. On a déjà assez d'ennuis avec les autres... Mais ça n'a pas marché comme d'habitude, je ne sais foutrement pas comment ils ont été au courant pour notre incursion par l'Empereur mais... ils nous sont tombés dessus en masse, c'est leur tactique de combat. On était pas du tout préparés, le terrain n'était pas à notre avantage et ils étaient vraiment beaucoup trop nombreux... Je doute que quelqu'un d'autre ait survécu."
Le garde donna un petit coup de pied dans le cadavre pour le retourner, dévoilant un insigne de gang tatoué sur la nuque du ganger : une énorme bouche grand ouverte donnant sur un genre maelström, comme si elle aspirait la matière environnante.
-"Les Soul Eaters... Un petit gang qui semble avoir rejoint la cour des grands, nous avons pour habitude à la garde de faire des missions de temps à autres pour neutraliser les membres importants de ce genre de gangs, juste avant qu'ils ne prennent vraiment de l'ampleur. On a déjà assez d'ennuis avec les autres... Mais ça n'a pas marché comme d'habitude, je ne sais foutrement pas comment ils ont été au courant pour notre incursion par l'Empereur mais... ils nous sont tombés dessus en masse, c'est leur tactique de combat. On était pas du tout préparés, le terrain n'était pas à notre avantage et ils étaient vraiment beaucoup trop nombreux... Je doute que quelqu'un d'autre ait survécu."
Re: Le centre ville.
A l'étage, Ailoen se releva et regarda ses deux camarades avancer vers l'étranger. Au cas où ce dernier voudrait passer à l'offensive, Ailoen était en quelques sortes un joker pour l'instant dissimulé. Des paroles furent échangés, difficilement audibles de là où il se trouvait, mais l'échange paraissait se dérouler sans accrocs.
Avec ses lunettes de vision nocturne, le psyker scruta ensuite attentivement les deux bouts de la rue, à droite et à gauche, afin d'être prêt si d'éventuels renforts surgiraient, alertés par les coups de feu.
Avec ses lunettes de vision nocturne, le psyker scruta ensuite attentivement les deux bouts de la rue, à droite et à gauche, afin d'être prêt si d'éventuels renforts surgiraient, alertés par les coups de feu.
Ailoen- Vétéran
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Re: Le centre ville.
[MJ : Etant donné le silence (relatif) de la sous ruche et le fait que tu ne sois qu'au premier étage, tu peux les entendre parler parfaitement de là où tu es. J'attend la réponse de Fedias.]
Re: Le centre ville.
-Je parle bien vite d'hérétiques ? On parle de gens qui veulent tuer tout le monde. Enfin je dis ça, je dis rien, c'est mon avis. Bref, d'autres ont pu vu poursuivre ? Avez-vous entendu parler de "vrais", il avait accentué le mot, hérétiques ?
Fedias écoutait pendant ce temps si il n'y avait pas des bruits suspects. Le silence de la zone et le bruit des combats avaient peut être attiré quelque chose...
Fedias écoutait pendant ce temps si il n'y avait pas des bruits suspects. Le silence de la zone et le bruit des combats avaient peut être attiré quelque chose...
Fedias Panthera- Vétéran
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Re: Le centre ville.
-"Non je ne crois pas que d'autres soient à ma poursuite, ils ont du se séparer en plusieurs petits groupe pour nous poursuivre. Le problème c'est que l'un d'eux s'est échapper... Ces ordures sont plutôt du genre rancunières si vous voyez ce que je veux dire. Ce tas de merde n'avait pas tord quand il a dit que nous étions toujours la proie des Soul Eaters, je dois bien l'admettre. Ils sont bien plus nombreux que nous et connaissent le terrain comme leur poche, notre seul atout c'est leur impulsivité, et puis... Ce sont pas franchement des lumières, ils seraient même plutôt idiots."
Le soldat mit son fusil en bandoulière et se redressa, comme si il s’apprêtait à repartir.
-"En tout cas je vous dois une fière chandelle... Je me suis pas présenté, je suis le sergent Ryis, je fais, ou plutôt je faisais partit d'une section spécialisé dans le combat contre les gangs. La sous-ruche m'est familière même si elle ne finira jamais de m'étonner, je peux vous ramener là haut si vous voulez. Il ne faut surtout pas rester ici en tout cas, ils vont revenir, c'est certain. Et ensuite ils vont vous faire la chasse, jusqu'à ce qu'ils vous retrouvent ou que vous vous échappiez de cet enfer. Je connais suffisamment le coin pour que vous ne perdiez pas de temps dans les gravats, sans quoi je doute que vous parveniez à les semer."
Le soldat mit son fusil en bandoulière et se redressa, comme si il s’apprêtait à repartir.
-"En tout cas je vous dois une fière chandelle... Je me suis pas présenté, je suis le sergent Ryis, je fais, ou plutôt je faisais partit d'une section spécialisé dans le combat contre les gangs. La sous-ruche m'est familière même si elle ne finira jamais de m'étonner, je peux vous ramener là haut si vous voulez. Il ne faut surtout pas rester ici en tout cas, ils vont revenir, c'est certain. Et ensuite ils vont vous faire la chasse, jusqu'à ce qu'ils vous retrouvent ou que vous vous échappiez de cet enfer. Je connais suffisamment le coin pour que vous ne perdiez pas de temps dans les gravats, sans quoi je doute que vous parveniez à les semer."
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